vendredi, janvier 26, 2007

mardi, janvier 23, 2007

désolé si j'ai eu l'air d'un fou, je ne suis pas comme ça d'habitude, les gens qui me conaissent le savent, mais trop peu de liens ne farorisent pas les liens. Et puis d'habitude je ne parle pas, je suis plutot timide, d'habitude je ne sais pas quoi dire, et tout tourne autour d'une question à poser pour faire la conversations et et je cherche et je cherche, et finalement je ne dis rien, je répond juste aux questions par des mots simples et qui parraissent froids. C'est peut être mieu comme ça, mais comme c'est un probleme pour moi, j'ai essayé de le résoudre, alors je t'ai parlé et raconté des trucs sans réfléchirs, posé des questions idiotes et sans interet, j'ai donné parole à mes pensées, et elles en ont profité, c'est ma liberté de penser que je t'ai exposé au grand jour, mes pensées en libertés, les tiennes ne l'etaient plus non plus, d'ailleurs je le sais, tu as eu peur, et apres m'être plongés dans tes grands yeux verts tu as tourné la tête, et tu n'a plus voulu mes les montrer, je le sais, tu as eu peur, c'etait ta liberté de penser à laquelle je pouvais acceder. Je suis un vampire, voilà tout, un vampire émotionnel. et peut importe la façon dont je me comporte, je vampirise toujours. J'aurai mieu fait de me taire ce soir, j'aurai mieu de te paraitre désinterressé, j'aurai mieu fais de juste conduire, plutot que d'essayer de conduire. Et tu sais tout ça c'est de ma faute, j'aurai pas du la tuer, mais pourtant je le savais, et je rengeai mes affaires dans mon sac, et je me disais, voilà je l'ai tuée, elle a disparu, je l'avais dis, et je l'ai fait, et c'est comme ça, et je savais que j'y repenserai toujours et je le regretterais surement. Mais le monde ne s'arretera jamais de tourner pour une petite fournis comme moi, comme elle, et c'est bien dommage, car ce monde, il ne vaut plus la peine de tourner. Je suis un vampire, un vampire émotionnel et spirituel, partout je ne fais que passer et me nourir pour vivre, pour créer, pour construire et pour détruire. Je passe et je m'en vais, tout ce que je cherche ne tourne qu'autour du sexe ou de l'inspiration, sauf elle, sauf pour elle, mais je l'ai tuée, tuée. Ou bien j'ai cru. Tu vois, que je parle ou que je me taise, je provoque toujours des émotions négatives, je provoque toujours mon insensibilité aux autres, ma soif des autres. Je ne suis qu'un chat parmis les chats, je ne suis qu'une infime parties de chaque personne qui s'est trouvée sur mon passage. Alors si je t'ai fait peur, je te demande pardon, je sais que tes yeux verts ne se poseront plus jamais sur moi, mais ça m'est égal, moi, je ne veux plus faire de mal. Je ne l'ai jamais voulu, mais c'est peut-être juste à moi que j'en fait, je n'aurai pas du la tuer, je ne veux plus l'avoir tuée.