Ce blog n'a plus aucun sens, j'y étale des choses qui mélangées ensemble se contredisent, j'écris des choses destinées à être interprétées de la mauvaise façon.
Quelques mots qui subsistent entre d'autres qui essayent de prendre de la valeur, en vain.
Ce blog est une tache, je suis le mieux placé pour le dire.
Il a cessé d'avoir un sens le jour ou j'ai décider de jouer à un jeu débile dont je ne connais ni les règles, ni les limites, et qui le sais d'ailleurs, et quel jeu dabord ?
De quoi parle-t-on ici? de moi, de vous? probablement de rien.
Je parle toujours en généralité, cela laisse un vague énorme, on pourrait surfer dessus. Je ne donne aucune précision, qui sait de quoi je parle réellement ? moi même par moment j'en sais rien.
Je ne sais pas vers quoi j'avance avec ça, peut-être que je recule...
C'est le jeu de la confusion, je sais, je dis des trucs mais je dis rien, je dis blanc mais c'est noir, mais peut-être blanc, c'est le jeu ou il faut laisser planer le mystère pour attraper une proie, et laisser planer le doute pour ensuite aspirer la force de sa détresse, ce ne n'est rien de plus qu'un banal jeu de vampire.
Je ne sais pas si je viens de l'apprendre, ou si on me l'a appris, ça n'a pas d'importance qui est le créateur.
Je ne veux pas être un vampire, alors je vais arrêter là.
Et recommencer ailleurs, mais sans jeu, cette fois.
vendredi, octobre 17, 2008
jeudi, octobre 16, 2008
assez d'espoir
je suis fatigué.
j'ai des souvenirs qui s'envolent.
des mots en pagaille dans ma tête, des mots qui sans elle ne veulent plus rien dire.
J'en ai fabriqué d'autres, moins beaux, faux.
maintenant, quand j'y pense.
Je me suis tant acharné à rejeter ce que j'étais que j'ai oublié d'en garder le meilleur.
Si on savais ce qui nous attendais au delà de la mort, nous aurions probablement tous envie de crever. Mais on ne sait pas, alors on attend, dans la sérénité, ou la peur.
A la rupture d'un sentiment fort, on est comme mort. On essaye de revivre, mais tout est fade et dégueulasse; on essaye de s'envoler mais les ailles ne battent plus pareil, alors on chute et on s'écrase.
On fini par se dire qu'on est plus rien, et puis ensuite on parle à la troisième personne du pluriel, parce qu'on ne se considère même plus unique pour la premiere personne, alors on, on et on, parce que c'est tellement banal de s'éclater la face au sol avec autant d'acharnement, de volonté à vouloir s'y éclater, alors qu'on pouvais croire à la lune.
On, parce que je suis seul.
On, parce qu'on se croit toujours deux; ou plus.
Je ne sais pas plus que toi qui tu es, tout se mélange dans ma tête, les mots, les conversations, les sentiments et les information, un savoir vide de tout sens. Je ne sais plus qui est qui et qui fait quoi, je suis en proie à une confusion totale, un brouhaha cérébral. Des idées se repoussent et se complètes sans arrêt à la recherche de connections pures, idée immuable dans l'esprit, vérité pure. Je cherche et je trouve, et puis j'oublie, et puis je me dis finalement que je ne suis qu'un pauvre paranoïaque qui a tellement conscience de son sort qu'il en devient ridicule, misérable.
Surtout quand je fini vraiment par me dire que ma paranoïa est due au fait que je crois être parano. Le suis-je ou pas ?? Bordel de merde, si on part sur cette voie la ou ne peut jamais vraiment rien savoir dans ce monde de matérialisme et d'idéologies pourries.
Je fouille est je farfouille dans ce bordel qu'est devenu ma cervelle à la recherche de....de... de je sais même pas quoi finalement. Et je crois que c'est justement pour ça que je suis sur la bonne voie, la réponse, le pourquoi du moi-même.
C'est triste et égoïste, ou peut-être juste égoïste qui sait, pas moi. Je me laisse guider au fil de mes pensées jusqu'à ce qu'une force dévie ma trajectoire et/ou m'emporte avec elle.
j'ai des souvenirs qui s'envolent.
des mots en pagaille dans ma tête, des mots qui sans elle ne veulent plus rien dire.
J'en ai fabriqué d'autres, moins beaux, faux.
maintenant, quand j'y pense.
Je me suis tant acharné à rejeter ce que j'étais que j'ai oublié d'en garder le meilleur.
Si on savais ce qui nous attendais au delà de la mort, nous aurions probablement tous envie de crever. Mais on ne sait pas, alors on attend, dans la sérénité, ou la peur.
A la rupture d'un sentiment fort, on est comme mort. On essaye de revivre, mais tout est fade et dégueulasse; on essaye de s'envoler mais les ailles ne battent plus pareil, alors on chute et on s'écrase.
On fini par se dire qu'on est plus rien, et puis ensuite on parle à la troisième personne du pluriel, parce qu'on ne se considère même plus unique pour la premiere personne, alors on, on et on, parce que c'est tellement banal de s'éclater la face au sol avec autant d'acharnement, de volonté à vouloir s'y éclater, alors qu'on pouvais croire à la lune.
On, parce que je suis seul.
On, parce qu'on se croit toujours deux; ou plus.
Je ne sais pas plus que toi qui tu es, tout se mélange dans ma tête, les mots, les conversations, les sentiments et les information, un savoir vide de tout sens. Je ne sais plus qui est qui et qui fait quoi, je suis en proie à une confusion totale, un brouhaha cérébral. Des idées se repoussent et se complètes sans arrêt à la recherche de connections pures, idée immuable dans l'esprit, vérité pure. Je cherche et je trouve, et puis j'oublie, et puis je me dis finalement que je ne suis qu'un pauvre paranoïaque qui a tellement conscience de son sort qu'il en devient ridicule, misérable.
Surtout quand je fini vraiment par me dire que ma paranoïa est due au fait que je crois être parano. Le suis-je ou pas ?? Bordel de merde, si on part sur cette voie la ou ne peut jamais vraiment rien savoir dans ce monde de matérialisme et d'idéologies pourries.
Je fouille est je farfouille dans ce bordel qu'est devenu ma cervelle à la recherche de....de... de je sais même pas quoi finalement. Et je crois que c'est justement pour ça que je suis sur la bonne voie, la réponse, le pourquoi du moi-même.
C'est triste et égoïste, ou peut-être juste égoïste qui sait, pas moi. Je me laisse guider au fil de mes pensées jusqu'à ce qu'une force dévie ma trajectoire et/ou m'emporte avec elle.
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