jeudi, décembre 27, 2007

les Fous

Qu'à-t-on à perdre à regarder les minutes passer "batir une vie plutot que de la gagner" Je ne sais que répeter les conneries qui passent dans vos tête.

La nuit avait étée longue, et comme il l'avais dit, il l'attendais avant minuit, les pieds dans l'eau. C'etait marrée haute, il n'avais que quelques pas à faire pour être engloutit par l'océan, mais il l'attendais là, les pieds dans l'eau, et avant minuit. Il s'etait mis à nu, dans tous les sens du therme, et le vent froid des soirs d'hiver ne semblait pas le troubler le moins du monde, il regardais les dunes, se laissant prendre racine dans le sable glacé. Il l'attendais, comme il lui avait dit, sachant pourtant qu'elle ne viendrais pas. Le ciel etait clair, sans lune, mais les étoiles elles etaient là, à le regarder l'attendre, comme il lui avait dit. Il y eu des étoiles fillantes ce soir là, le ciel lui accorda trois voeux, les trois même, aucun ne fut exaucé. Avant que minuit arrive, il allat se jetter dans l'océan, l'eau etait froide, plus froide que la neige de ses souvenirs d'enfance, plus froide que le froid qui glaça son coeur à mintes reprises, plus froid que l'ombre de l'espace. Il mit la tête sous l'eau, et nagea en profondeur, et repensant à ce qu'elle lui avait fait, à son insuportable absence, il se mit à crier du fond de l'océan, les bulles lui réchauffaient le visage, sa douleur lui procurais le peu de chaleur qu'elle n'avait su lui offrir. Il remontas à la surface comme si il ne savait plus où il etait, comme si il venait de renaitre, il sorti de l'eau la peau glacée, ne sentant pas même son corps, ne sentant pas les coquillages pointus du sable glacé au contact de ses pieds endormis par le froid qui saisissait encore tout son corps. Il se retourna vers l'océan, regarda les vagues et sourit quelques instants... Il se demanda ensuite ce qu'il foutais là, à attendre une femme qui ne l'aimait pas plus qu'un cri dans l'océan, il remits ses habits lentement, ne pensant à rien pourtant, et rentra chez lui avant minuit, sans un mot, sans même une pensée à l'égard de la raison qui lui a fait prendre conscience de l'Unité.

Il avait des mots doux d'un monde différent du sien, si elle fesait partie d'un monde, c'etait celui de beaucoup trop de gens, si elle fesait partie d'un monde elle fesait partie du monde qu'elle voyait, mais lui fesait partie du monde en lequel il croyais, mais l'inviter ne servait à rien, elle ne passait pas les portes de son monde, la forcer ne servait à rien, elle le transformais en ce qu'elle y voyais... un vide, avec quelques mots insensé, quelques images bien trop lumineuse dans ce vide, ce noir, si intense, si présent. Elle n'aimait pas être vidée de ses maux, car ses maux la rattachaient au monde qu'elle voyait et qu'elle croyait réel. Il l'est pourtant, mais le mien l'est tout autant à la différence que dans son monde elle restera irréelle aux yeux d'un homme réel perdu dans un monde irréel aux yeux d'une femme qui se pense réelle dans un monde qu'elle croit réel. Il n'y a aucune différence vous me direz, je ne sais pas, je crois que son monde est triste, et qu'il le restera si elle ne se rend pas invisible au yeux des gens comme elle pour voir le monde tel qu'il est sans elle, sans son image, sans ce voile qui masque tous ces gens avec qui elle croit se plaire. Mais ils sont comme elle, alors personne n'évolue. Laissont les gens dits "normaux" se becter entre eux, et nous, fous que nous sommes, regardont les s'entretuer.

Il prit son crayon, et commença à la dessiner, sur une feuille de papier. Les traits de sont visages, comme il les voyais, l'expression et son corps, comme il l'imaginait, emporté par ses rêves et ses désirs, d'une femme irréelle dans son monde réel, les traits de crayons débordèrent sur une toile de coton. Les plis des draps, la forme de sa poitrine et de ses fesses, la teinte de ses longs cheveux. tout l'amour qu'il lui porterais à travers quelques ombres et couleurs, à travers le vide compact qui les sépare. Il se roula un joint, pour perdre le controle de ses mains et vit la nudité féminine s'illuminer dans son esprit de jeune inconscient pervertit par la cruauté du monde auquel il a cru un jour appartenir. Les pupilles dilatées, le coeur battant, pour quelques ombres dont seul le coeur de l'imaginaire modele pourrait offrir les dernieres teintes. Il reposa son pinceau, les mains tremblantes de l'amour volatile qui regne dans leurs espace. Fermant les yeux sur un avenir magnifiquement hasardeux, il rêva de ses mains et de ses yeux, de la plénitude envoutante qu'ils pourraient adopter tous deux.

Il bu un verre de vodka, ou deux, et se mit à écrire des mots qu'il ne comprennait pas, parcequ'il etait bourré, mais pas incenssé, puisque ses mots etaient lisibles. Aux temps de la préhistoire, il aurait gravé son visage dans la pierre, mais il a juste mit sa photo sur son portable, comme un mouton qui ne voudrait pas suivre le troupeaux, mais qui le fait quand même. Buvant et fumant, les yeux collés à cet écran d'ordinateur, qui le désociabilise, et il le sais, mais sans tout ça il creverait, il s'emmerderais, c'est ce qu'il croit, et il croit aussi qu'il ne croit pas a ça, mais sa flémardise le retient dans une électronique poussée qui bug bien plus que son propre esprit. Prisonnier des cables electriques du monde qu'il a créée. Regardant dans un mirroir oblique un espace douteux d'une chambre tordue, dans lequel la matiere devient une illusion. Il aimerais faire de la matiere une illusion à grande echelle, mais elle l'est déjà et personne ne le vois, sauf peut-etre toi. Pourtant sans la matiere, il en a déja fait l'experience, cet homme a peur, cet homme n'est pas pret, ou peut-etre l'eternitée de cet instant ne fut pas assée longue pour lui donner le temps de s'y plaire et de jouer avec vos yeux.

Le noir, des contours lumineux, un tunnel, et un train sans toit, des wagons fais de bois, une gare pleine de distributeurs, je dépense mon argent, j'ai mon billet de train. On marche sous l'eau, il y a des balançoires et des tobogans, le soleil filtré à la surface. Il y a un parking pres du magasin, je me gare à la station service, j'ai du mal à fermer la portiere mais ça explose, nous avons des amis, tu as tes pieds sur les miens, quand je marche tu bouges comme moi, on s'arrete dans un rayon mais c'est l'entrée, tu veux du bacon, tu as les cheveux blonds, et tu m'arrives au menton, tu veux du bacon, on se sent bien. À l'étage dans l'église, on peut longer les murs sur des passerelles de bois, c'est la collonnies, il y a des gateaux partout, mais je n'en mange pas je ne sais pas quoi prendre. Le temple est ouvert, je vole à un metre du sol dans l'allée des torches. Quand je sort de la maison, il y a une baie vitrée dans le renfoncement à droite et devant un grand terrain parsemé d'arbre et puis l'océan. Il y a un bac en pierres dans la jungle, il est profond de plusieurs centaines de metres, tout au fond, il y a des images et des trésors, je ne remonte rien, je suis trop faible. Tout est cassé dans cet immeuble, on voit la ferraille du béton abimée et les poutre en fer, tout est délabré, mais on se prend la main devant le rayon des disques. Je remonte trop loin, si loin que je suis en vélo sur le chemin de terre, et a gauche ça se sépare, mon vélo s'enfonce dans des sables mouvant, ce chemin là se termine à deux metres par un grillage. Si loin que le monde tient dans mes mains, je deviens témoin de sa destruction, j'angoisse de ne savoir le reconstruire, tout ses petits morceaux éparpillés par terre, je ne sais pas par ou commencer, et puis encore... encore... et encore encore...

Les fous on sortis leurs armes des dessins de leurs peau, ne sachant pas quoi en faire, il attendent, assoiffés du sang de l'ennemi, personne alors ne comprend les cicatrices sur leurs bras, ils jasent; des tâches noires dans un monde de lumières qui s'éteingnent à l'aproche de l'aube et s'illuminent au crépuscule, attendant d'être libérés des barreaux qu'ils se sont forgés.

Je suis fous, fous de croire que je suis fous, je suis mon ennemi, en m'attendant, sachant que je serais celui qui ne saura plus pourquoi je suis fous, parceque que je ne le suis pas, et pourtant fous de ne pas l'être, je suis.

lundi, décembre 10, 2007

Errance des (h)aut(r)es sphères

Le grand architecte ne m'interpelle pas, il n'a jamais interpellé personne, il n'existe pas. je mens. dérisoire, des yeux noirs. Il n'est pas commun que des mots comme les tiens sucitent en moi un déjà vu, bien trop vu, j'ai peur. Qui es tu ? seulement un reflet, un reflet de reflets ? J'avais déjà trouvé, et je trouve encore, toujours à l'identique dans la différence, toujours le même batement. Je me consume lentement, je revois tout, je ne regarde rien. Ma solitude me comble ? ma solitude ne me détruit pas. Ma solitude me plait, je la hais. Bien étrange ? non, normal, classique, c'est un cliché de cette génération d'artiste (si je puis nous apeller ainsi) de cette génération de fous incompris. Les mots me manquent, et bien entendu les maux me manquent. Etait-ce si prévisible que cette phrase soit ? si peu inovante, tellement trop dite, pourtant si vraie. Je ne suis pas le seul, je suis comme des milliers qui vivent. L'âme se serait-elle divisée au fil des années pour donner vie à ces reflets multiples ? je ne sais pas, je m'en fous. mais du point de vu social uniquement, car mon inconscient tente sans cesse cette réunification impossible. Ces questions qui nous hantent tous depuis ce jour précis. quel jour ? je ne sais même pas depuis quel jour, pas plus pour moi que pour vous. ce jour là .

Tout etait si blanc, si pur, si limpide, si naturel, si somptueux; de cette mélodie envoutante qui me sortais droit de l'esprit, cette voix enfantine qui me parlait pour la toute derniere fois, cette voix que je m'efforçais d'écouter ne sachant pourtant pas si je l'écoutais vraiment. Le changement etait désormais présent, et cette si jolie voix qui depuis mes premières pensées ne m'avais jamais quitté, se tut, à jamais, mais c'est moi qui l'abandonnais. Cette voix inocente délaissée pour la pomme de l'arbre de la conaissance. Cette pomme que tu m'as tendue, que je n'ai pu refusé, que je ne voulais refuser, de toi.

Qu'ai-je perdu ? moi ? toi ? nous ? simplement la mort de solitude je crois. On se suffit à soi même, parceque l'on sait s'en persuader, moi je sais en tous cas. Ce n'est pourtant pas la meilleure chose, je le reconnais; quand la compagnie se présente je ne refuse pas, mais ça n'en est pas moins déplaisant. Seul ou avec toi, mais sans toi toujours seul. J'avais trouvé, et je trouve encore, à l'identique dans la différence.

L'alcool me pénetre, je suis pédé avec l'alcool, une pointe d'humour nul et gras, juste parcequ'aujourd'hui l'alcool ne débande pas, l'alcool est long dur et bon. Tout comme j'aimerais l'être avec toi; pour une pointe d'humour bien moche d'un mauvais doublages français de film porno allemand.

Toutes les histoires du monde on une fin, faute de temps comme toujours, la mienne n'en a pas, le temps n'existe pas, pourtant je marche dessus, à ses cotés, devant lui ou deriere lui. Mon histoire n'a pas de fin, m'on histoire n'est pas, pas plus que la votre. Sommes nous uniques ? si oui sommes nous vrais ? sinon sommes nous faux ? ... Nous sommes, alors spirituellement parlant, le temps historique n'existe pas.

Je ne vois plus rien en toi, ni en moi, je ne regarde pas, je ne suis pas, tu n'es pas, je dis n'importe quoi, mais rien n'est là. Tout est ici, en moi, je suis prétentieux, tout comme ces yeux, noirs, qui nous font croire que la vie se termine de la même façon qu'elle a commencé.

L'alcool me fait dire n'importe quoi, ou la vérité, à qui me croira, s'en sentira bien dérouté.

vendredi, novembre 23, 2007

SUGAR INSTANT KARMA

On se protege avec des mots qui glacent le coeur, pour etre moins faible le soir lorsqu'on s'endors. Pour ne pas souffrir durant nuit, pour ne pas avoir à recoudre chaque morceau de soi. Ne pas revoir ces images lointaines qui apres tant d'années restent toujours aussi lumineuses, comme pour nous rapeller ce qui nous etait cher et que l'on a perdu. punis pour avoir été heureux, mais jamais recompensés d'avoir été malheureux.

Alors on se proteges en faisant croire que l'on est ce qu'on n'est pas, avec des mots qu'on ne pense pas. Parcequ'on à trop aimé avec des pensées que l'on ne disait pas.

Faire semblant, c'est dur, histoire de Karma, la raison de l'âme humaine. On ne s'échappe pas de quelqu'un comme ça, mais on s'échappe à soi même, on s'oublie et on ne souffre pas.

mardi, octobre 09, 2007

les opposés

Quelle importance ? ce n'etait qu'un rêve, un simple meurtre. Mais ça ne dérangera personne, il n'etait pas important, même pas assé pour que je le tue, trop tard, c'est fait. C'est même encore à faire.

Ce n'est pas une vie magnifique, au moindre souci je perds tout contrôle, toute envie. Est-ce fini ? je l'espere, apres ça, tout est détruit. Et reconstruire... par cette pluie, c'est impossible. Elle à gagné finalement, elle l'a eu sa gifle, et j'ai perdu. Ce couteau dans mon coeur, mais je le sais déjà, demain il ne sera plus là et la cicatrice ne se verra même pas, elle ne s'est jamais vue... Il n'y en a jamais eu.

Il fait nuit, presque, déjà, mais pas encore. Y'a d'autres routes, bien plus belles que celle là, bien plus belle que cette route que je ne choisi pas.
Recyclage d'images, recyclage de sons, recyclage d'émotions, c'est bon. Le froid m'enveloppe, me bouche le nez, m'enrhume, la solitude, la vraie. L'hiver approche, je vais pouvoir me rhabiller, m'emmitouffler, me cacher. Garder la chaleur derriere ces morceaux de tissus. Le froid m'inspire. Reviens le moment le plus triste de l'année, le plus solitaire. La glace qui craque, la neige qui gronde sous les pas. Nous les anges de la nature. Survivre sous un ciel gris, la nuit à 5heure, la nuit qui dure. La solitude qui n'en fini pas, mais cette années je serais seul sous mon manteau pour avoir chaud, cette année voilà du nouveau. Un cycle. Recycle.

C'est triste et déprimant, peut-être est-ce que j'attendais, sentir les palpitations de mon coeur simplement au contact du vent froid qui me frappe le visage et qui s'engouffre dans mes manches. Savoir que je ne sais rien. Que la vie n'est qu'un trouble flou dont on ne peut rien comprendre. Juste attendre et voir ce qui se passera, parceque c'est le seul pouvoir que l'on a.

User du temps pour juste le trouver à son gout, profiter des sensations; c'est pas ça qui va me tuer. Je n'ai pas froid, je ne suis pas malade, je n'ai pas mal, je ne suis pas seul. Peut-importe ce que je dis, je le dis, c'est moche ou c'est joli je m'en fiche. Je sais que ce que je ressent est à la limite de l'indescriptible.

J'aime jusqu'a en pleurer, parceque c'etait si triste, ça sera si triste.

samedi, octobre 06, 2007

Hiver Sublime


Mouliner pour avancer. Avancer vers le monde. Vers l'utopie qu'on s'est fixé. Un but à atteindre, mais un but si lointain, un but éspéré, supposé. Nous faire croire à la vie, à la beautée. A l'envie, à la maturité.
Rechercher le sens des mots, décortiquer les phrases, réunir les idées, arriver à un tout.

Et tout perdre ou tout gagner. réussir ou galerer. Infliger la merde qu'on a vécu, juste pour rassurer un ego malin, vilain. Imposer, forcer, commander, mais détruire... le peu que l'on a reconstruit. En se fesant croire le faux pour faire ressortir le vrai. Mensonges. Ils sont là, toujours là lorsque l'on en a pas besoin, et tellement faux lorsqu'on le sait. On a fini par oublier, tourner la page, mais jamais vraimment on ne saura vivre sans le mensonge; Un jour, quand je saurai aimer, Un jour quand tu sauras parler, Un jour quand ce sera le bon.

Esperer, douter, peut importe, nous n'avons plus que ça en poche, parceque... Il est si difficile d'accepter, de se le dire sans parler. Réagir sans bouger. Un jour, seulement, un jour, surement, un jour vivement. On a fait tant de chemin, de notre coté, main dans la main, sans jamais s'arreter, esperant ce lendemain. Je ne peux plus, non, mais si, je ne veux plus, mais c'est toujours là, toujour restera. Cette envie de toi, de nous. Je veux parler d'avant, je veux parler du passé. Se concentrer sur le présent, prévoir un futur. Le passé viendra enfin. Tu t'es donnée tant de mal, je t'en ai fais bien plus. J'en ai reçu autant, par ta faute ou par la mienne ? peut importe, nous avons vécu, nous avons grandis, nous avons souffert, et nous souffrons toujours. Ce n'est pas pour rien, mais je ne sais pas pourquoi c'est si dur, je ne sais pas pourquoi je suis si con, je ne sais pas pourquoi tu as tellement raison. Si tu ne veux pas jouer, alors ne joue pas. La réalité est déjà bien assée compliquée comme ça.

Le jour où je me suis éveillé, le jour ou tout à vraiment commencé, le jour ou la fin justifiais les moyen, le jours ou j'ai tenu le premier pinceau, le jours ou mes yeux s'emerveillaient de ce blanc si froid, mais cette chaleur qu'elle me donnait, cette chaleur qui a construit chaque bout de moi. Chaque matin plus dur, moi plus vivant que jamais. Cette envie de mourir parceque l'on comprend que l'on existe mais qu'on ne sais pas pourquoi, pour qui, pour elle, qui m'a laissé, pour l'avoir blessé. Ce jour ou j'ai compris que ce n'etais pas le bon, ce jour ou je suis parti.


J'y reviendrai un jour, mais j'y reviendrai jamais. Incompréhensibles sont ces mots, ces maux. mais ce vide qui me rempli... Est-ce le moment de construire si l'on a pas les outils ? je ne sais pas, mais ce n'est pas le moment de détruire.

Sans rien à dire, ne pas survivre, le vin, l'esprit, ses yeux, les sens, je me tais à présent, et parle moi.

mercredi, août 29, 2007

Muette

Ne viens pas, je vais te faire du mal, j'ai bien trop peur de moi.
Ce que je t'ai fait, ce que j'ai fais de toi, j'ai bien trop honte de moi.
Je serai surement méchant quand tu ne comprendras pas, quand je ne comprendrais pas, je serai violent. Je suis violent. Je l'ai puisé dans ta faiblesse, dans la mienne, dans ta sensibilité, dans ma succeptibilité. Tu ne veux pas de ça, tu ne veux pas de moi. Je ne vaut pas bien plus que ce que j'ai imaginé de toi, chaque nuit et chaque seconde aujourd'hui. Je me suis laissé une bombe à retardement, ne vient pas, il n'est pas trop tard, ne vient pas ou desarme la. Mais je sais déjà que tu ne peux pas, tu ne veux pas. Je suis mauvais, bien trop pour toi. Tu ne veux ni de ça, ni de moi, mais tu ne le sais pas, et il ne vaut mieu pas que tu le sache.

Oui ça recommence, encore comme avant. Etait-ce pour t'éviter le pire ? ça l'est maintenant. Je ne peut pas t'apporter de bonheur, je suis trop faible pour ça, envahi par mes pensées sadiques. Je n'ai rien à te repprocher, j'ai tout gaché moi même il y a bien des années. Si tu ne te sens pas capable de me sauver de mon esprit alors n'essaye pas, ne viens pas... car tu n'en repartirais pas.

Je suis bien trop dangereux pour toi, pour ta douceur, chaque jours la haine est là et nous détruit, et c'est ma faute, je l'ai trop laissé faire, croyant que nous ne recommencerions jamais, mais je me suis trompé, j'ai tout gaché encore une fois, je n'aurai jamais du laissé faire mon esprit, ce plaisir inasouvi, tout ce que je ne t'ai jamais dit, tout ça dont croi moi, tu n'as absolument pas envie.

Cette violence qui me ronge pour tout ce mal que je ne me suis jamais avoué t'avoir fait, je vais le payer, pour de bon, et je vais souffrir à ta place. Mais ne pleure pas, je n'en vaut pas la peine, je suis comme tous ces salauds qui croient que le monde ne tourne qu'autour d'eux. Je suis comme tous ces salauds que tu as fréquenté, ces salaud que j'ai détesté pour t'avoir aimé comme je n'ai jamais su le faire. Sauf aujourd'hui, et c'est moi qui en paye le prix, c'était trop tard, tu n'aurais pas du dire oui, tu n'aurais jamais du me sourire ce soir là. Je n'aurais jamais du venir.

Oui ici j'écris et aujourd'hui c'est pour toi, et ça tu ne lis pas, le voudrais-tu ? Je te dirais comme je t'aime, je te dirais à quel point je me hais. Je voudrais t'offrir le meilleur de moi, mais l'autre partie ne disparaitra jamais, et si seulement. Je voudrais te rendre heureuse, je voudrais te rendre ce que tu m'as donné, mais j'ai bien trop peur de t'infliger tout ce que j'ai inventé, pour me guérrir de toi, le comble c'est que ça n'a jamais marché, et je ne suis pas guérri, je suis juste détruit, ce que j'etais avant, ce que j'etait pour toi.

Je ne sais pas ce qu'il se passe pour toi, si tu t'en veux, si tu as des regrets des choses à changer, des choses que tu t'es inventée, je ne sais pas, mais cela vaut-il ce que je t'ai fait ? Je ne suis peut-être pas seul à avoir gaché nos vies, mais je connais ce que j'ai fais, je sais pourquoi tu me hais, je sais pourquoi parfois je te hais et pourquoujours je me hais. Je ne suis pas digne de ton amour, je le sais car tu ne me le donne pas.

J'ai fait cette erreur impardonnable et tu m'as pardonné... tu n'aurais peut-être pas dû.

Ne viens pas, mais si tu le fais, je te promet de donner le meilleur de moi pour ne faire aucune erreur. Parceque tu le mérites pas.


Tu m'as pardonné, mais jamais tu ne me l'a dit.

vendredi, août 24, 2007

Les routes jumelles

Apres ce primptemps, le vent décima les jeunes arbres que nous avions plantés, les moindres racines arrachées à cette terre, si peu fertile. On aurait dit des sables mouvant, sous nos pieds, rien ne semblait réster, et sous ce ciel, tout semblait s'envoler. De mon coté il y a une fleur, je l'arrache sans arret mais toujours elle repousse, comme ces bougies sur lesquelles on souffle et qui ne s'éteignent jamais. L'alcool n'est plus ce qu'il était, ne me réjouis plus, me rapelle et intensifie mon mal plus qu'il ne l'absorbe. Mais je sais ce que je suis, je sais ce que je fais, et je hais. Je hais ma réaction, je me hais de sentir à nouveau ce truc dans mon ventre, mais seul. Seul avec l'alcool qui m'anesthésie, qui me ronge et qui m'oublie. Il se vide de tout, en moi, qui me fait croire à nous, mais à quoi ? Mon désespoir de te perdre, mon espoir de t'oublier. Oublier cette vie à laquelle je me suis accroché, oublier cette fille avec laquelle je ne peux que fantasmer. Tout à moi mais tant à elle. Je me croyais pourtant devenu invincible, mais j'ai sauté, à la premiere petite faiblesse. Cela ne fait qu'empirer, et notre empire, juste un soupir. Ai-je gaché le temps ? Aurai-je du souffrir de ce que je n'avais pas et non de ce que je n'ai plus ? Que dis-je, rien n'est perdu, mais ai-je envie de me donner la peine de tout retrouver pour le regretter? des regrets c'est ce que j'aurais dans les deux cas. J'ai sauté trop tot, combien de temps encore nous faudra-t-il pour accepter ce que l'on est? pour accepter que le seul changement qui peut nous sauver viendra de nous ? Je fume trop ou bien le temps passe trop vite, et je bois trop ou ma bouteille était déjà vide, et je l'aime trop ou bien je suis déjà mort.


Les routes jumelles; la femme ou l'éternité?
Le combat est identique, mais la réponse,

la réponse...


mercredi, août 22, 2007

Même pas d'image pour illustrer

Je suis un gros con, un enfoiré, un trou du cul, je fais du mal, encore, je force et j'impose, mais je voudrais que tu me dises que tu t'en fout, même si je dois souffrir pour ça, souffrir de tout ceque tu aurais pu m'offrir et que tu ne m'offriras jamais, que tu ne m'aurais d'ailleurs jamais offert. Tu n'es pas du genre à offrir ça, tu n'es pas du genre à vouloir te donner la peine de me rendre heureux.

C'est repartis pour un jour avant que ça me reprenne, tu sais me controler et je me laisse faire, à quoi bon, si je ne te laisse pas faire, je me dirai que j'ai tout gacher, toi, moi, nous, ce que nous aurions pu faire; mais qu'allons nous faire ? je n'en sais rien, toi non plus, à part souffrir des envies de l'autre, à part hair ce morceaux de nous qui ne s'accorde pas.

J'ai peur, de ce que j'ai fais, de ce que je ne fais pas, de ce que je ne peut faire, de ce que j'ai envie de faire, de ce que je regretterais dans tous les cas, la seule chose qui me reste est le regret, je n'ai plus que ça. Je ne peut pas te laisser, je ne peut pas t'aimer. Je n'ai plus la force, il est trop tard, je me suis enfermé et je t'ai donné la clé. Me la rendras-tu un jour ? la clé de mon coeur, où la place est déjà prise. Aurai-je un jour le courage de te laisser seule, ou même de t'abandonner à quelqu'un ?

Repeindre le tableau, celui au fond du couloir pres de l'escalier, celui qui est derrière son double abstrait, derrière ce rêve orange où le ciel et la terre se confondaient, ce rêve ou l'humanité était mienne, entre les deux montagnes, nos corps collés pres de ce chalet, ce rêve, ce tableau; et derrière, la réalité, ces lignes, ces couleurs, je n'en veux pas, qui voudrait d'un tel destin, ni toi, ni elle, ni moi, un désastre pour tous les trois.

Pourquoi ai-je fais ça ? pourquoi ai-je cédé encore une fois ? arrivera un jours où je ne cederais pas. Me sentir coupable, voilà ce qui me retiens, refaire du mal encore, souffrir, encore, mais pas longtemps et c'est ça le pire. Et puis y repenser, chaque nuit parceque je n'aurais plus que ça, et pleurer parceque je me serais résolu à un avenir plus noble certe mais plus compliqué, plus ambigu, plus sombre plus triste... mais tellement plus beau. Mais elle n'est plus vraiment là, et je ne suis plus aupres d'elle non plus, alors tampis, il n'est peut-être encore pas temps, c'est tellement difficile, ce jeu là est si loin maintenant, et l'adversaire aussi, mais je me suis éloigné, je me suis retiré, et je joue encore j'essaye, j'essaye de mettre en place des stratégies, mais ça ne vient pas, c'est trop tard pour ça, je ne vois plus rien, plus tard sera surement déjà bien trop tard, mais tot est tellement impossible, tot serait du suicide, tot serait la destruction, tot serai le gachis, la panique. Alors attendons et je te ferais du mal encore quelques années et je m'en ferais également tout ce temps, en l'attendans, elle, en attendant le jour ou nous seront pret, en attendant le jours où...

dimanche, août 19, 2007

Deux Jours

Ca craind ! tout craind, tu crainds ! ton coup de fil m'a épuisé, détruit. Deux jours ou rien, mais je sais que ça sera rien. Je vais en chier ce coup ci pour effacer ma mémoire, il n'y a plus autant de haine dans mon coeur, je n'ai plus autant de joie à te voir partir, ça me fait mal, autant, plus ou moins que la derniere fois ? Je n'en sais rien, je ne m'en souvient plus, c'est bien trop loin. Vas-tu souffrir de mon absence ? Ou te dis-tu simplement qu'il n'est plus la peine de rien si je n'ai plus confiance en toi ? Tu croyais surement que tes ruses allaient marcher, me faire gueuler, culpabiliser, puis me faire entendre que tu pleures pour que je m'escuse de ce que je n'ai pas fait, pour que je m'escuse de ce pardon que tu ne m'as jamais donné. Deux jours et ça sera la bonne ou la derniere, peut-être que tu n'y penses déjà plus, moi je souffre encore un peu, toujours un peu. Je n'ai plus confiance en toi, et tu te dis surement que je ne vaut pas la peine de la regagner, je ne vaut pas la peine que tu te donnes autant de mal pour rien au final, tu le sais, je ne te ferais jamais plus confiance, jamais comme avant. Je suis redevenu comme avant oui, c'est ce que tu voulais, et je te quitte, comme avant car toi tu n'as pas changé visiblement, tu reste la même égoïste et insensible demoiselle. Tu restes chien et je redeviens chat.

A quoi bon si nous savons que rien ne peut s'offrir à nous puisque nous nous refusons tout. A quoi bon rire sans complicité ? A quoi bon vivre sans passion ? A quoi bon vivre sans ton amour si je ne t'en porte aucun ? Pourquoi dans deux jours si je sais que ça ne fera que rendre notre enfers plus vaste ? Je veux te dire que tu me fais mal, un mal comme tu ne peux pas connaitre, et ce mal ne vaut pas le peu que tu m'offres. Restons loin, restons cachés, rognes tes os, je mangerais ma patée, on ne cracheras plus dans l'assiette de l'autre, reste dans ta merveilleuse vie, celle que tu deteste tant lorsque je ne suis pas là. Je resterais entres les murs de la prison que je me suis forgé lorsque tu etais là. Mais j'ai toujours eu la clé, tu ne sais pas voir la splendeur de ce qu'il y a deriere la porte de ma cellule, alors à quoi bon m'enteté de vouloir te montrer ?

Je veux te changer oui, puisque tu n'aimes pas ce que tu es; alors pourquoi ne fais-tu aucun effort ? Tu prefere rester dans ta bulle ? trés bien, mais un jour elle éclatera et je ne serais plus là pour te rattrapper. Je reste en dessous deux jours, et si tu ne veux pas que je l'explose alors fais-le toi même, je te rattrapperais, je te fabriquerais des ailes et nous irons danser avec les nuages, nous irons briller parmis les étoiles, tu sais ? celles que tu ne regardes jamais parceque tu es trop peureuse pour affronter le froid de la nuit, la nuit qui m'illumine, la nuit qui t'endors.

Réveille toi et regarde ce que beaucoup de gens ne voient plus depuis des années, les astres qui nous guident, regardes les, aprivoise les, tu vis grace à eux, alors éteind cette télé et viens t'allonger à mes cotés sous cette masse de rien qui a su créer le tout.


Mais ce n'est pas ta nature, tu viens d'une étoile qui s'en fiche, tu vien d'une étoile qui combat la mienne depuis la nuit des temps, tu viens d'un opposé extreme où même la différence n'est plus un atout. Je t'offre ma planete, je t'offre mes yeux; deux jours pour accepter, ou deux jours pour décliner.

Je t'offre sans espoir,
Je connais déjà ton regard.

jeudi, août 02, 2007

Et ma solitude à moi ? Le plaisir que j'ai de ne penser qu'a moi, plutot que de m'investir dans ma propre destruction en suivant des buts qui ne me correspondent pas, jamais. je ne dois pas suivre ceux qui ne me suivent pas, je ne dois pas m'accrocher à des espoirs qui s'évanouissent chaque jours de plus en plus, et qui m'attirent chaque jours de moins en moins. Qu'est-ce que je croi ? qu'est-ce que je fais. Suis-je destiné à me détruire ? puisque j'aime tant ce plaisir de me reconstruire. Me détruire, oui, mais pas comme ça, pas avec autant de haine et de souffrance, cette souffrance là n'est pas belle. Mais souffrir pour avoir une raison de souffrir, enfin. Souffrir pour ne pas avoir à recommencer, souffrir pour enfin détruire les morceaux que j'ai laissés en moi. Peut-être qu'il ne partirons toujours pas, mais je ne serais plus assé fou pour recommencer cette construction sans racines. Elle a fait ses racines toute seule, elle n'a pas laissé de place pour que je fasse les miennes. Je ne suis pas assé fou pour faire selon ses regles si elle ne veut pas faire avec quelques unes des miennes.

Qu'en est-il de ma solitude à moi, de mon plaisir ? Mes raisons étaient bonnes, je m'en souvient maintenant, je n'etais pas con, non, je tenais juste à garder les controle de ma vie plutot que de la mettre dans des mains destructrices.

Que faire ? Que dire ? Essayer, tout en sachant que ça ne marchera pas, tout en sachant que bien des larmes vont encore couler, mais ces larmes là sont les miennes, elle sont pour moi, comme celle que j'ai déjà versé pour tout ça. J'essayerai, et tu essayeras, mais nous n'essayerons pas. Imposer nos règles, refuser catégoriquement celles de l'autre parceque nous ne pouvons nous accorder. Que cherches-tu ? la même chose que moi, alors je ne viens pas, et toi vas-t'en. Nous ne nous comprennons pas, jamais. alors profitons un peu, beaucoup, mais arretons nous, et ne nous retournons pas, je ne me retournerais pas. Tu me fais trop de mal sans le savoir, tu ne comprend pas la cause, et je ne comprend pas non plus tes douleurs.

On se fait croire mais on le sait. Mais alors pourquoi ? peut-être pour ne pas regretter de ne pas avoir essayer. Mais je ne te le dirais plus, puisque tu ne me le dis plus, je n'aurais plus à me mentir, à te mentir. Je ne pourrais jamais m'en persuader, et je ne serais jamais a toi entierement, comme tu ne le seras jamais pour moi. Si il y a une chose que l'on a en commun c'est bien ça. Je n'ai plus de place pour toi et tu n'en a pas pour moi non plus, alors on se gene et on s'étouffe, on se dit que ça changera, mais on sait que ça ne changera pas, en as-t-on envie ? pas moi. C'est une partie de moi que tu ne comprendra jamais, et si tu ne peux pas la comprendre alors tu ne m'acceptera jamais, et je ne t'accepterais pas non plus. Nous le savons, et j'attend que tu me prennes ma solitude et que tu pleures la tienne pour qu'on se le dise.

J'aimerais revenir seul demain, et tu aimerais rester là-bas. Alors qu'attendons nous ? Que nous faut-il de plus ? Nous verrons bien, mais on le sait déjà !

vendredi, juillet 27, 2007

Bordeaux Chateaux Montbel de 95, accompagnée de tabac, de Caprice, et je perds tout ce que j'avais. Avais-je quelque chose ? L'envie de peindre, de prendre des photos, maintenant j'aurai plutôt envie de me perdre dans le décor, inhaler la fumée salvatrice.
Je pense des choses et je ne les fait pas, par envie, par ennui, par oubli surtout. Je ne m'écoute pas, jamais. Juste quand il ne faut pas, mais peut-être quand il faut, tout pourrait être pire, tout sera peut-être mieu... ou pas. Je lui dit trop, et elle pas assé. relatif. j'ai peind un futur que j'aime mais compliqué et donc effrayant. Il est à ma porté, comme jamais. Un futur impossible, je ne m'écoute pas. Si je m'écoutais... le chaos, encore, j'en ai envie mais pas comme ça, pas encore c'est trop tot. Les lignes temporelles de ces vies sont exponentielles, j'en ai peur car j'y croi bien que je ne le veuille absolument pas. Je peind moche ces derniers temps, mais je peind vrai... non je ne dois pas croire ça, mais est-ce si mal de savoir où je met les pieds ? Dangeureux ? Inutile ? Je peind et je ne fais rien. Je devrais détruire cette toile qui me fait mal. Ou bien juste la modifier, mais toujours oui toujours je me souviendrai de ces directions, toujours je saurais qu'elle meure et que je pleure, toujours je saurais qu'un jour tu ne m'aimeras plus. Je n'ai fais que peindre l'amour qui m'entoure, mais les détails ne sont-ils pas plus importants que la finalité ? malheureusement ce n'est pas ce que je croi aujourd'hui.

La solitude est tellement plus simple, mais aussi tellement plus triste. Il y a des jours où on ne crois en rien, il y a des jours où la plus grande question du monde reste sans réponse, esprit trop faible pour en trouver une et y croire. L'Instant du chaos est si bon, si complet parceque si vide et dénué de sens qu'il en trouve des millions sans pour autant en choisir un seul. Cet instant, c'est la réponse, parce qu'a cet instant il n'y à plus de questions.

Etais-je en plein dedans ou juste aux portes ? Etait-ce assé chaotique pour que je puisse y entrer ? je ne sais pas, mais juste ce qu'il faut pour survivre et m'introduire dans un futur plus qu'enrichissant. Suivre, déjouer où éviter le plan. Tous ces paramètres si complexes qui influence chaque jours le cours de la vie, je ne suis pas le seul à vouloir connaitre la programmation, je ne suis pas le seul à attendre l'éblouissance cosmique que procure le dernier instant, vu comme le premier grand éveil. Mais pour ça ne faut-il pas vivre et aimer ? peut importe pour qui et pourquoi, je ne saurai qu'au dernier instant, pour acceder au suivant.


Me perdre dans l'univers ou dans les mondes inferieurs, peut importe, me perdre.

dimanche, juillet 22, 2007

je ne veux pas être sauvegarder automatiquement
I dont want to be autosaved

Ouai je suis bilingue, et méga bon en plus !



Comme d'un bizar, faut que j'la joue hasard, mais où tomber ? sur quoi rebondir ? tout oublier sans jamais revenir! Instinct sauvage, pouvoir dire "là parceque", ne plus me poser de choix, suivre la première indication, ne pas savoir pourquoi. Dire que je m'en fout quand je m'en fout et dire que ça me plait quand ça me plait. Ne pas à avoir à dire pourquoi, ou comment.

Donner sa vie à soi même, impulsivité, agir sans réfléchir, réfléchir c'est se poser des questions idiotes qui amennent à des réponsent encore plus connes.

Deux anges du paradis en voiture :
-Attention copain, un arbre !
PAF
-Wouh ! ça chatouille !

Deux anges des enfers en voiture :
-Attention copain, un arbre !
PAF

Serions nous en enfer ? ou bien non mais alors le paradis n'existe pas. La terre existe elle, mais quoi d'autre ? le noyau terrestre ? le froid spatial ? L'homme ! aahh l'homme, l'homme, pour tout existe dans la mesure où ce qui le contredit n'existe pas. Et...le pire ou le meilleur y'a surement des avis partagés dans la salle, c'est que ça marche. Mais le vrai probleme, c'est que l'homme parle beaucoup voire meme trop. le souci c'est que tout le monde n'est pas dérangé par les même choses, si bien que tellement de gens finnissent par le dire, le croire, et du coup ça fini par exister pour de bon, y'a plein de truc qui existe maintenant qui n'existait pas avant, l'évolution me direz-vous, bah j'vous répondrais bah ouai okay, mais l'évolution de la déchéance de la race humaine la seule du cosmos, la seule l'unique du monde spacial. Sa pitoyable déchéance vers un avenir dont on crois avoir besoin parceque qu'on fini par croire en ce qui n'existait pas.

Créer créer créer, juste pour détruire détruire et encore détruire jusqu'a ce qu'il ne reste plus rien ni à créer ni à détruire. Il y a une fin à tout ça, c'est pour bientot. Tout sera détruit et tout sera recréer sans plus jamais pouvoir être détruit. meilleur ou pire? Ceux qui verrons verrons bien.

Mais est-il trop tard pour faire marche arrière ? est-il trop tard pour tout changer ? et si on pouvais tout détruire, sans rien reconstruire ? si on pouvais s'envoler sans jamais atterrir ? Et pouvoir vivre sans jamais mourrir ?

On a qu'une vie, pas la dernière ni la première. mais si nous puisont les âmes et les esprits terrestres pour les inserer dans des cerveaux humains qui en font mauvais usages, que restera-t-il à la fin? Oui il y aura une fin, mais il ne restera rien, ni vous, ni toutes ces âmes en perditions qui auront préférer faire du business plutot que de s'élever vers de nouvelles ères cosmiques. Là où le matériel est irréel, là où les esprit communiques leurs images, là où les esprits vivent en nous. Surement juste une autre facette du monde, une dimension d'un autre temps peut-être, un futur, où juste l'infiniment petit.

Je rêve que je peut voir plus près mais vraiment plus près, sans avoir à me déplacer, je rêve que je marche sur les murs, avec la vue d'une fourmis.

Plus pres, encore s'il vous plait!
Je veux voir le monde, le vrai.

mardi, juillet 17, 2007

J'ai le crâne vide, apres toutes ces journées si chargées, apres tous ces spliffs que j'ai fumé. Toutes les feuilles se sont envolées avant même que mes idées aient pris racine, fautes de moyen, de temps, de calme, faute de moi, je ne parlerais pas si je le pouvais.

Mes mots sont durs mais vrais, mes mots sont choisis, le hasard pourrait-on croire. Mes phrases sont secretes, mes phrases parlent de choses que l'ont sait de soi même mais qu'on aime pas entendre dans la bouche d'un autres.

Je rêve d'eau, de profondeur; il y a des tobogan sous l'eau, des balançoires, je respire de l'eau, je vi. Ce gros con à même essayer de tout foutre en l'air dans mes rêves, ce gros con n'est qu'un gros con, merci gros con d'avoir été aussi con pour que je puisse m'en apercevoir.

Jalou, je suis jalou, et terrorisé aussi, dégouté et afaibli, je suis dévoré. Je ne peut m'empecher de trouver une parade, écrire c'est là une chose bien importante, peindre en est une autre. Superficielle et frivole, son masque doit tomber.

Jalou de ses découvertes, de son passé. dégouter de ne rien savoir, car même si je sais tout, elle sait tout du mien, elle sait tout de ce que j'ai bien voulu lui dire. Je ne sais rien de tout ce qu'elle prefere garder pour elle. Ce n'est pas plus mal. Le passé est le passé, le mien cependant à l'air si important.

Je dois peindre, ce clown affreux, ses blagues à deux balles, son visage peind, pour cacher le réel, cet amusement pueril qui devien minable lorsque la peinture coule, il arnaque, il ment, il manipule, il fait croire, il a de bon argument, mais il ne faut jamais faire confiance à un clown.

Détruire ma vie, sacrifier ma vie, réussir ma vie. Trois choses, deux qu'il faut éliminer, une qu'il faut retenir et appliquer. Serai-je heureux peut-importe mon choix ? il me manquera toujours un quelque chose dans chacun des cas, reste à savoir ce qui est le moins important, l'amour ? la sagesse ? ou le chaos ? ....évoluer, crér, végéter je ne dirais pas quoi correspond à quoi, ça surprendrais peut-être.

Le monde à l'envers, l'espace au centre, le ciel, les hommes, la terre et puis ensuite les Géants.

J'ai rêvé d'une dimension inférieure, je me fond dans les murs et les images. L'autre soir j'ai entendu un disque tranchant du Géant irriter le bitume. J'ai vu d'un oeil Géant la zone commerciale, j'ai su y trouver ma place à l'atome pret. Mais le Géant est si petit et si complexe, et l'espace est si grand et si vide, concentration de rien du tout.
Lorsque j'étais petit je jouais aux Légos, et pour bien les ranger, je mettais dabord les plus petits au fond ça prenais moins de place et puis venaient les gros qui prennaient de la place, mais ça prennait toujours moins de place que de mettre dabord les gros et ensuite les petits.

Voilà, j'ai dis un truc qui ne sert à rien, juste pour dire que c'est pas parceque c'est grand que c'est grand, et c'est pas parceque c'est petit que c'est petit !

jeudi, juin 21, 2007


Normal Paranormal: leur science n'est rien


Nous vivons dans un monde où la société nous indique le chemin de la vie, d'une vie profitable pour une société meilleure, plus grande pour encore plus profiter, encore plus diriger, encore plus détruire au final.

Tout dabord bien que cet article soit mon point de vu personnel, il est aussi le point de vu de base. Pas besoin de croire en Dieu, pas besoin de prier, et pas besoin d'être un scientifique, cet article ne l'est même pas, mais il y fait référence. La seule chose qu'il faut c'est croire en vous, parceque vous êtes la clé du changement, vous êtes le seul qui pouvez répondre à toutes ces questions qui vous turlupinent. Bien qu'elles se ressemblent enormement, les autres n'ont pas les même questions que vous, alors il est inutile de relier une de leurs réponses à une de vos questions, ça serait trahir votre existence et votre esprit.

Pour les jeunes ados qui en on marre de tout, qui veulent tout savoir, qui en on asser d'attendre, et bien la seule chose que je vous dirait c'est de continuer à en avoir marre de tout, de tout vouloir savoir tout de suite, et soyez impatient, un jour ça changera.

Dans cet article, je me contredis, encore et encore, parceque croyez moi, il ne faut croire qu'en vous !! ^^ Mais avec toutes les réalités que les autres vous font croire, que cela vous couterait-il de suivre mon conseil et de croire en la votre ?

Mais j'espere faire résonnance avec la petite voix qui sommeille en vous, j'espere qu'elle vous dira les même choses que moi. Cette petit voix nous l'avons tous, et elle nous dis des fois bien des choses, bien des conseils qu'on aimerais suivre, mais la raison, qui se traduira ici par"la réponse des autres" nous rapelle que la petite voix à beaucoup trop la tête dans les nuages.

Cette petite voix, j'espere la faire descendre sur votre petite planete à vous, qu'elle pose ses pieds sur le coton qui la couvre, et qu'elle vous dise que la vie dépend de bien plus que la raison, je veux qu'elle chuchotte à votre oreille comme elle a chuchoté si longtemps dans la mienne, que j'ai fini par aimer l'écouter, tout en faisant semblant d'écouter la raison.



Rien d'Anormal, mais rien de Normal

La science c'est super, Jeux vidéos, Ordinateurs, Lecteurs MP3, Télévisions, Ondes Hertziennes, HAARP, Fusées, Nucléaire, Voitures, Wifi, GSM, Satellites, GPS, Nanotechnologie, DVD et j'en passe biensur, et il y a toutes les grandes découvertes avec toutes ses lois si compliquées mais si faciles à comprendre, l'infiniment grand l'infiniment petit, l'espace, les étoiles, les planetes, le soleil, et le cerveau... un truc chimique avec plein d'onde éléctriques dedans, pour vous faire dire "j'ai faim" ! Mais la science ne répond pas aux vrais questions, l'âme, les forces de la nature, et ce petit quelque chose dans lesprit qui vous fait dire "qui suis-je".

Mais c'est pourtant cette vieille science qui nous à fait nous poser les vraies questions, alors comment avec un peu plus croyance elle ne pourais pas y répondre ?

Si il vous plait de croire que vous avez un don, croyez le, vous finirez par le savoir, et ensuite par savoir l'utiliser.

Si il vous plait de croire que vous controlez le sens du vent, croyez le, le vent finira par vous obéir.

Il n'y a pas que ce que l'on voit qui existe, l'air ne se voit pas, mais il existe. Oui on peut le sentir dans ses narines, dans ses poumons. Et pouvez vous sentir votre coeur battre au contact d'un être aimé, pouvez vous sentir la chaleur du soleil.

Toutes ces choses si simple que l'on sent parceque qu'elles "existent".


Et toutes ses choses que vous ressentez sans le savoir parceque personne ne vous appris à les ressentir, apprennez, vivez, sentez, croyez en vous et juste vous, croyez à vos idées farfelues, croyez aux forces de la nature, croyez pour être heureux, croyez pour vivre mieu. Ce qui aujourd'hui n'existe pas, demain existera.

La petite voix à dit

N'ayez crainte, et croyez en votre instinct, croyez en vous et en ce qui vous tien à coeur et qui vous permet d'avancer, d'évoluer dans la direction que VOUS voulez prendre.

Parcequ'il ne faut pas oublier que nous sommes dans un monde où on nous a dis Normal parcequ'il y avait les scientifiques pour le confirmer, l'affirmer et le transformer, et on nous a surtout dis Paranormal parceque les scientifiques sont encore trop bêtes et trop bornés pour s'ouvrir à la vraie science.

Ne soyez pas les moutons derriere ce vilain berger qui nous dis ce qui existe et ce qui n'existe pas. Croyez en votre réalité, devenez des fous aux yeux des autres, et ce vilain berger qui vous mene à l'abatoir se fera manger par les loups !

dimanche, juin 17, 2007

L M'M

Tu as su mettre de l'espoir dans mes yeux, tu as su prendre mon coeur entre tes mains, sans le blesser, sans l'abimer, apres tous ces coups de griffes qu'il a reçu; si fragile, si subtil. Glissé entre tes doigts, un petit coufin dans la paume de la main.

On s'est trouvé, et un jours nous nous sommes perdus, dans une immensité glaciale régie par le mensonge et le doute, des espoirs vains, les bouteilles de vins, tes regards insolites, mes envies de vivre. Nous avons gravis bien des chemins pour se retrouver, pour se désirer. Ne devrais-je donc pas parler que pour moi ? Aurai-je donc mis les pieds sur une autre terres, pendant que toi de tes petites mains reconstruisais pierre par pierre ce petit chez nous que l'on s'était construit, et que j'avais détruit. Sans portes et sans fenetres, mais aujourd'hui il y a de la lumiere, des jolis rideaux, et une grande porte en bois, qui ris l'été et qui craque l'hiver, ce petit chez soi bien à nous, ce petit chez nous bien à soi.

Mais j'ai peur, de ce que tu vas penser ou dire, peur que ces mots à tes yeux ne soient pas les plus beaux, peur du ridicule, comme on à peur de ce qu'on ne connait pas. Peur d'être trompé par ceux qui nous sont cher. Mais nous sommes liés, entremélé, et même avec le temps, on se retrouve toujours.



Ce n'est ni le jour, ni l'heure, ni l'endroi pour en parler, mais pour une fois je me sens fort, parceque tu es là, dans mon coeur, dans mes yeux, dans mon lit. Aujourd'hui je ne regrette rien, aujourd'hui, je me sens bien.

mercredi, juin 13, 2007

Dieu aussi fait des rêves...


Des valeurs empiriques,
Viennent les astres,
Sur ce monde si tragique,
Où l'homme est un désastre,
Imposera la panique,
Par des mots de race,
Des images hypnotiques,
Sur la couche de crasse,
Que l'on croit sympathique,
Tant qu'elle est dégueulasse,
Ne perdons pas la trace,
De leur haleine pleine de fric,
Ne perdons pas la face,
Devant ceux qui nous le piquent.

Implorez les hauteurs,
De vos illuminés,
Devenez le seigneur,
De vos entités,
Regagnez les valeurs,
Des astres pollués,
Devenez le voleur,
De la mauvaise charité,
Noyez les dans le malheur,
De votre chair dépouillée,
Pissez dans le bonheur,
De leurs être desa(r)mé
Vivez de l'ampleur,
De l'essence retrouvée,
Terre,
Enchantée
Heure,
Eveillé.

...et Shaytan fait des cauchemards


y'a des jours où je devrais me taire

lundi, juin 11, 2007

Changez vos cavalières

Sans compter que tu me manques déjà, sans compter que tu me saoules parfois, sans compter que tu es là pour moi. Même si quand je te parle tu ne sais pas ce que je dis, même si t'en as profité quand je n'etait pas là. Parceque je t'ai fais souffrir et tu es toujours là, parceque tu pardonnes l'impardonnable, parceque tu ne me refuses jamais, parceque tu les as tous trompés, parceque ton coeur il bat contre moi, parceque même si tu ne comprend pas mes mots tu sais soulager mes maux.

Y'a des envieux, y'a des salaud, y'a des garces et des méchantes, mais y'a nous deux et on est mieu !


Lorsque l'on retombe dans la frénésie de l'écriture amoureuse, on s'en fiche de paraitre pathétique, on s'en fiche de n'avoir rien d'autre à dire que ça, on s'en fiche des autres et de ce qu'ils pensent. Mais je sais pourtant que ce n'est plus de mon age, je sais pourtant que je devrais me taire et tout garder pour moi. Je veux mais je ne veux pas. Je suis dedans et dehors, et il faut bien parler a quelqu'un pour savoir tout ça, et à qui donc sinon moi ?

Aujourd'hui j'ai du temps, mais en aurai-je dans un ans, saurai-je vivre dans 10 ans ? Tes idées me font peur Lili, tes idées me terrorisent et tu ne le sais pas. Tu veux courrir trop vite, et je ne sais encore pas si je pourrais te suivre, laisses moi le temps de me rapprocher de toi, laisses moi le temps de m'accrocher à toi, lentement mais surement. Tous ces buts que tu nous fixe, moi j'ai besoin des miens, j'ai besoin de ma solitude, j'ai besoin de te désirer.

Comprends moi, aimes moi comme ça et ne pleure pas notre temps viendra, mais laisses ta main dans la mienne, laisse moi seul pour regler mes défauts, ça nous enlevera bien des problemes.

J'ai de la place à faire dans mon coeur, un peu de ménage à faire, AC/DC et un coup d'aspirateur, y'aura toujours un peu de poussiere mais je sais que je n'aurai plus peur. J'avais du citron à la place du sang, et dans les yeux les vagues de l'ocean, j'avais de la peinture à mes pieds, du sucre dans la main, la peur au ventre, la fleur et le centre. Et j'ai tourné, j'ai tourné longtemps autour, ennivré de son parfum j'ai perdu pied, j'ai glissé dans la peinture et me suis noyé dans l'océan, j'y ai mis du sucre parceque c'etait un peu salé et j'ai vomi ma peur. Pour le citron, il faudrai m'ouvrir les veine.


Lili ? dis moi, combien tu m'aimes ?


Changez vos cavalières,
Crimes trahison misère,
Tout l'monde s'en balance,
Alors tout l'monde danse.

dimanche, juin 10, 2007

RETOUR


Quel était notre monde à nous ? Qu'en as tu fais ? Et pourquoi ai-je tout oublié ? Qu'as-tu fais de la premiere fois; tu as pu vivre sans moi, moi je n'ai jamais pu m'endormir sans toi.

Notre monde était noir de chagrin, ce qu'il est toujours; oublié pour ne plus me détruire. Toi tu l'as souillé de tous ces crapeaux et j'ai maintenant du mal à m'endormir près de toi. Mais nous continuerons à marcher, main dans la main chacun vers un but différent, mais nous marcherons, et nos bras s'étirerons comme des élastiques. Je voudrai que tu me detestes, je voudrais que tu me lache la main car nos bras sont déjà bien trop long, je ne te lacherais jamais plus, mais je ne ferais rien pour te retenir. Je hais lorsque tu joues de ma jalousie, je hais me détruire tout seul, je hais détruire ce que l'on construit mais c'est plus fort que moi.

Et tu me tire peu à peu vers ta route, tu me tire peu à peu vers des rêves qui ne sont pas les miens, juste parceque notre monde est noir de chagrin, juste parceque notre monde n'est rien.

dimanche, mai 27, 2007

Y'en a qui jouent à saute mouton avec des humains, y'en à même qui jouent au foot avec des chiens. Pourquoi je ne jouerais pas au loup avec les ames, pourquoi ce vieu chnok perçoit plus de chose que moi ? comment savait-il pour moi tout ce qu'il a dit du haut de son toit ? simple coincidence, deux fois comme ça sans qu'on comprenne pourquoi. Y'en a des plus fort que moi, y'en a qui ont déjà compris, toutes ces années d'experience, comment peut-il avoir accés à mon esprit si tout cela selon beaucoup n'existe pas. Ce qui n'existe pas, sinon vous, sinon moi. Elle a cru m'avoir avec son massage cerebral à deux balles, ce n'est pas la distance mais le temps qui nous sépare, visiblement j'aurai toujours de l'avance sur elle. Et pour un coup je sais que je vais mourrir avant elle, pour un coup je sais qu'elle me possede depuis le jours où j'ai bu dans son verre. Elle me tien entre ses mains, contre ses seins, même si parfois mon ame est ailleurs, mes mains elles, seront toujours posées sur ses reins, et mon oreille écoutera à jamais le batement de sont coeur.

samedi, mai 12, 2007

Y'a des jours ou on regrette ce qu'on a pu dire ou faire, mais les raisons qui nous on poussé à faire c'est choses étaient bien plus qu'essentielles dans ces moments. La survie de l'être sussite des sacrifices, douloureux avec les temps. J'ai fini par apprendre ce qui c'etait passé pendant ce temps ou j'ai été absent pour elle, maintenant ça fait mal, même si pour elle peut de choses ont changé, pour moi il ne s'est presque rien passé, juste un vide, et chaque soir ces fantasmes qui me hantaient, chaque soir cette fin cruelle de larmes et de violence. Mais je ne peut plus faire tout cela sachant que sont voyage à elle etait périlleu, et le mien désatreux. Je lui en voudrait toujours d'avoir tromper l'homme qu'elle aimait avec ces misereux sans respect, pendant que moi je trompais mon amour avec des fantasmes de l'autre monde. Rien, rien ne s'est produit pour moi, trop d'hésitation, c'est le sort que je redoutais. Mes parents tout crachés, et puis nous parlerons de ce temps où nous nous sommes perdus, nous nous ferons du mal et nous n'en parlerons plus. Elle m'aime et j'aime l'autre qui ne m'aime pas, un cercle vicieux où chacun reçois le mal qu'il a fait. Nos vies sont-elles déjà détruites ou pouvons nous encore aranger tout cela ? le temps nous le diras. Le temps, j'en parle si souvent en ce moment. le temps qui régis tous, qui souvent fait de nous ce que nous ne sommes pas. Serai-je naturelle avec elle plus qu'avec toi ? serai-je heureux pour elle plus que pour toi ? Etai-ce plus douloureux lorsque je l'ai quittée ou lorsque tu m'a giflé ? Je ne sais pas. Je vous dirais juste à toutes les deux que la destruction engendre l'isolement pour une reconstruction, je vous dirais juste à toutes les deux que ce n'est pas fini, que ça ne finira jamais et que ça ne changera jamais tant qu'elle m'aimera au point de tromper tomper tous ses hommes avec moi, au point de jouir si fort sous les drap, de la chaleur de nos corps, de la chaleur des emotions que je me suis résoluà lui offrir, encore. Mais cette femme, qui hante mes fantasmes depuis que je la connais, cette femme qui à elle seule de son amour à gacher mon aventure pour assurer sa vie future. N'a t'elle pas tellement de spiritualité et de force visionaire pour avoir réussi à tout foutre en l'air ? Il faut qu'elle me deteste, comme tu voulais que je te deteste. mais autant de temps à pleurer sur m'on sort ne mon pas appris à faire de même, je ne peut que m'agenouiller devant la puissance spirituelle de cette femme qui chaque nuit, chaque seconde m'impose le respect, si bien que je ne peut que me rabaisser pour obtenir sa pitié. et je l'aime, oh oui je l'aime, peut-être pas aussi fort que toi, mais ai-je un jour confondu amour et amitié , ai-je un jour perdu le sens de la volupté ?

J'ai souvent parcouru son corps, j'ai souvent gouté la saveur de sa peau, j'ai toujours adoré lui faire l'amour, mais ai-je eu un jour le coeur emballé ? Mon ventre ne m'a jamais crier secour, je n'ai jamais tremblé devant ses yeux.

Et toi, as-tu déjà eu le courage de me dire en face que je me suis toujours trompé ? as-tu réfléchi ? avant de me donner ta main ? as-tu seulement pensé à ce que j'aurai pu ressentir ? ou as-tu seulement pensé à ce qui n'est pas arrivé ?

Nous aurions tellement de chose à se dire tu sais, tellement de vieux compte à regler, J'aurais besoin que tu me dise ce que tu as éprouvé à chacun de ces moment passés ensemblant, à chaque regard échangé, chaque sourire volé. Je ne sais même plus si un jour je t'ai embrassée, et je n'ai jamais su si un jour je t'ai attirée.

Mais aujourd'hui c'est différent, aujourd'hui du mal je ne veux plus lui en faire, parceque je ne veux plus en recevoir de toi. J'ai choisi de vivre enfin ma vie, non comme je la voulais mais comme je la vois maintenant. Parceque tout est enfin plus simple, Parceque tout etait si compliqué avec toi, parceque tu m'a toujours fais croire que j'avais tord, tout en me persuadant que tu n'attendais que ça. Je n'ai jamais su où donner de la tete. Nous n'étions peut-être pas fait pour être à deux. J'avais dis que je t'aimerais en secret, mais tout aurait été tellement plus douloureux, et puis c'est toi qui a commencé, c'est toi qui a tout gacher, moi je l'aimais bien Pedro
et je l'aimais bien Mégane et j'aurai voulu que ça reste comme ça, et toi t'as tout foiré, ou peut-être c'est moi, et puis je m'en fous, je suis bien trop bourré pour te detester ce soir. Je suis aussi bien assé bourré pour l'aimer ce soir, mais la vie c'est comme ça, et puis maintenant je ne m'en pleind pas, même si souvent nous ne somme qu'a 5 ou 6 km l'un de l'autre, ton appel dans mon reve le 1er Mai dernier était bien trop faible pour me rappeller mon amour pour toi et bien trop fort pour affirmer mon amour pour elle.


Et j'ai peur pour plus tard, peur de faire ma vie avec elle, peur que tu viennes tout perturber, peur de vivre seul. Peur de ne pas être à la hauteur, sur tous les plans.


Mais tout ça n'est qu'une infime partie de mon existence, tout cela n'est qu'un passage vers un autres, tout ça n'est que le souci du moment. Je ne suis ni triste ni en colere, juste un peu bourré.
Cela ne veut pas dire pour autant que c'est faux, Nous sommes là, mais où sommes nous ?

L'âme est en terre !
Voilà le cinquième.
L'âme est en terre !
La vie n'est pas humaine.

La mer vien jusque là les soirs d'orage. La fenetre ouverte j'entends les vagues s'abbattre sur le sable jaune, j'entends les pins bouger. J'ai soif de sagesse et de pureté, j'attend un coeur ouvert sur les folles merveilles de ce monde que personne n'a le courage de s'avouer. J'attends qu'on me comprenne pour ce que je suis et ce que je parait être, j'attend qu'elle me dise qu'elle m'aime encore, comme j'attend qu'elle me dise qu'elle ne m'aime plus.

mardi, mai 08, 2007

Une nuit

C'est le soir, mais à l'heure qu'il est il fait nuit depuis bien longtemps déjà. Les derniers oiseaux ont arretés de chanter, les dernieres voitures sont déjà passées, il ne reste plus rien. Mais je suis là, debout devant le miroir, debout dans le noir. J''entends un batement dans mes oreilles, ce n'est pas celui de mon coeur. J'entends une mélodie, ce n'est pas celle de ma vie. Non, c'est juste la musique de mon esprit. Rapide et indéchiffrable, aigue et sourde pourtant. Puis mes oreilles sifflent, tout bourdonne, un haut de coeur, la tête qui tourne, je dois m'allonger. Je régule mes timpans, je supprime le siflement, puis le bourdonnement, le grésillement et enfin le vent. Je suis sourd, mais la musique reprend, des ding et des dong, des boom et des bam; je me retrouve plongé dans l'univers, plongé dans un océan de réponses. Des réponses inaceptables, des réponses qui peuvent rendre fou si on commence à en parler. Mieu vaut les garder pour soi, mieu vaut laisser le monde apprendre par lui même. Le savoir est-il une fin ou un moyen?

Comment accepter de changer toutes ces méthodes de vies, toutes ses raisons d'être et toutes ses habitudes, pour quelque chose qui pourrait se faire passer pour une hallucination banale, les scientifiques en rafolent, et les centers psychiatriques aussi.

Comment faire accepter une telle idée ? comment faire voir à tous ces gens le changement ? Mieu vaut fermer sa gueule, ça évite d'en repousser cinq-cent pour en attirer un.

Ils se disent ouverts, mais le sont-il vraiment ? Sont-ils pret à accepter qu'ils n'aient jamais étés seul dans leurs tête, peuvent-ils comprendre les ondes sonores et visuelles ? peuvent-ils croire en leur réalité et non en celle des autres ?

L'évolution, nous n'en sommes qu'a ses premiers balbutiements, mais est-ce une raison pour se dire que ce n'est pas d'actualité, que d'y penser si tot est inutile ? Nous n'y penserons jamais asser tot.

Il faut voir l'énergie, la comprendre, sentir ce flux energétique si puissant qui a lui seul possede la force pour faire tourner la terre, pour faire tourner la tête. Nous sommes là, mais où sommes nous ? La meilleure réponse reste toujours de vivre sans réponses.

L'autre jour j'ai dis, sans vraiment savoir pourquoi: L'âme humaine est en terre.

Suis-je assez lucide pour être convainquant ou êtes-vous assez bourré pour être convaincu ?

Il y a de ça des années, un homme à dit.

Mais qui l'eu cru ?!

En une vie, on à le temps d'en accomplir des choses, allé quoi quatre-vingt dix ans ?! trentre trois mille jours ?! sept cent quatre vingt dix mille heures....quarante sept million trois cent cinq mille secondes.... si long, mais si court arrivé à la fin. L'esprit à le temps avec tout ce temps, mais ne pourrait-il pas de temps en temps dévier sa trajectoire ? s'extraire du code humain, parcourir l'infiniment grand, découvrir l'infiniment petit, de ses propres yeux, de son propre esprit.

Tout ça fait peur, tout ça donne des frissons, et même lorsqu'on y est on se demande encore pourquoi, on se demande encore comment on a pu croire la parole des gens qui croient en la réalité d'autrui, comment a-t-on pu rester aveugle tout se temps.

[...]
(Et paf, un paragraphe de supprimé, aucune raison d'en dire trop pour que ça soit pris pour un folie débile de mon esprit, ouai, c'est comme ça la vie, y'a plein de cons partout)

J'en ai cru des conneries, oh que oui, je serai pas le seul à le dire hein dit ouai gamine ?

Apres tout, même si mon esprit me joue un tour, toutes les saloperies qu'il a pu me faire ne m'ont fait que grandir et apprendre, alors si au final j'apprend que j'avais tout faut, au moins je ne serais plus dans le doute, mais à bien y réfléchir, je ne suis même pas dans le doute, et sain d'esprit qui plus est. Justye un peu de fantaisie en ce bas monde, pour acceder à ce haut monde qui nous surplombe tous, à ce haut monde dont peut de gens soupçonnent l'existence. Ce monde, à l'origine de vous, de nous. Ce monde qui pense, et le notre qui agit. Il faut communiquer entre ces deux mondes, nous agirions peut-être bien mieu. Il sont inocents, ils ne savent pas quoi faire de leurs temps à regarder les plus grand. Mais il faut partir avec eux, il faut oser, il faut découvrir ce qui les guident, il faut atteindre leurs but, pour trouver le notre.

Et si la terre arretait de tourner, juste quelques secondes, que se passerait-il ?

Voilà une question sans réponse qui restera sans réponse.

Amis lecteurs tout seul, je vous aimes !

mercredi, avril 18, 2007

les gens qui n'existent pas

Ouai ouai c'est ça raconte ce que tu veux, j'm'en fous. Ces autres cons là, tous autant qu'ilms sont ne sont que des hypocrites débiles sans imagination, sans scrupules et sans respect. Va raconter ma vie à tout le monde, je lui fesait confiance et a l'autre pétasse aussi. Putain de merde c'est quoi ces crétins sans cervelles ? Ou alors c'est moi le con, jdrevrais peut-etre me fouter de la gueule des gens dans leurs dos, j'devrais être un gros connard d'hypocrite qui s'aime et se fout des autres. Et l'autre putain qui se la joue sentimentale et déprimé n'est qu'une banale dépravé à qui j'ai fais confiance pour la seconde fois et qui m'a fait me sentir mal une seconde fois.


J'etais pas de mauvaise humeur, j'etais juste fatigué et pressé de dormir, mais maintenant j'ai la haine contre tous ces cons, que j'ai laissé tombé parcequ'ils etaient cons, et j'le comprend pour la seconde fois, ou peut-être bien pour la premiere.

Va chier gamin, va chier frisé, va chier putain, va chier voleuse. Y'en a marre de me sentir con, de me sentir si normal respectueux et correct alors que vous etes que des porcs avides de souvenirs amusant pour votre vieilleissesi chiante. Aller crevez ailleurs, laissez nous vivre en paix. Ces gens là sont tous des cons et ne savent pas vivre, ces gens là se disent amis, mais dans la vie moi j'en veux pas. Amis comme ça ça fonctionne pas. Les amis passé un temps ça n'existe pas, ça n'existe plus.

Rigole ta mère devant ton écran, fais tourner à tous tes potes, chie ta merde sur la gueule d'autruis. J'suis né là bas et j'ai compris que tous ces cons là fesaient pas partis de ma vie.

Déceptions sur déceptions, parfois j'me sens bien con, parcequ'au fond j'suis pas assez malin pour faire le chien. Aboyer grogner, j'prefere miauler ou ronronner, et même griffer la gueule des cons.

Méritent même pas tout ce qu'ils ont, et j'mérite bien ma déception.

Mon language est vide et répétitif, mais putain faut se répéter encore et encore pour faire comprendre à tous ces cons comment se passe la vie, la vraie, en harmonie. Je leurs ferais la guerre si j'etais comme eux, mais j'vais fermer ma gueule comme d'habitude, laisser couler leurs triste attitude, laisser parler dans mon dos, paranoïer dans mon coin comme ils diraient, mais moi je le sais c'est pas pour rien, c'est pas de la parano mais de la perception, de la disuasion. j'ai l'air d'un con mais t'as tout faux. J'me sens supérieur et je suis supérieur, à toutes ces insinuasion faites dans mon dos, pendant ma défoncer qui n'est que transmition, ma perception acrue, d'un autre univers, de l'univers unique qui régis nos pensée, il n'y a que les malades mentaux qui en sont exclus, ils n'y a que les fous qui ont raisons. Il y a ce monde où vous crachez, et il y a le monde où jamais vous ne vivrez.

C'est une histoire de couleurs, prends une bougie rouge et fourre toi la dans le cul, tu t'envoleras pour un voyage fécal !

Je ris des littres de rouges, je ris de la manzana, de la vodka et de tous les autres, je ris de la ganja, du shit et du speed, je ris de toutes cettes merde qui changent la vie en une jolie toile blanche, garnie de quelques taches de couleurs festives. Raz le cul de tous ces cons qui ne savent dire que oui ou non.


Chier les éléctions, chier ta face, chier les gens, chier le travail, chier la putain, chier gaddan, chier les secrets, chier que vous croyez toujours êtes seuls dans vos têtes, chier de savoir tout ce que je sais, chier d'avoir le bénéfice du doute, parceque chier d'avoir pour exemple merdique votre simplicité spirituelle que tout le monde selon vous serait sensé respecté pour ne pas paraitre fou, chier d'écouter la vie, chier de parler, chier de me taire, chier ces putains de secondes qui font tic-tac, chier d'attendre 60minutes pour avoir une heure, chier le temps qui régis toutes nos pensées, chier le temps qui nous fais tous vieillir, chier ces gens qui nous font souffrir, chier leurs ignorance, chier ces putains de chiottes qui reluquent vos culs chaques jours sans même savoir pourquoi.


Va Chier Monde Cruel, cervelles sous-évoluée, Chier vos conneries à deux balles pour faire de vos vie un semblant de bonheur. Moi je ris de la connerie des autres, et vous êtes juste des cons à rire des autres, hypocrisie générale, renifle toi le trou d'bal, et pleure, pleure de ne pas avoir compris plus tot !

mercredi, avril 11, 2007

Des ailes.

Parfois j'aimerais ouvrir les yeux sur ce mur jaune, ce mur que je detestais tant, j'aimerais entendre les voitures, entendre la musique des chiottes, de ces chiottes si merdiques, j'aimerais ressentir ce parquet miteux sous mes pieds nus, j'aimerais voir mon lourd tableau à sa place. J'au rais aimer qu'elle se prive de quelque chose qu'elle aime pour quelque chosers qui me fait chier plutot que de se priver de ce qu'elle aime pour quelque chose que je veux à tout prix. J'aurai aimer qu'elle gueule et qu'elle prenne des décisions chiantes à mes yeux.

J'aimerais tant ne pas me sentir en sécurité, juste quelques instants, j'aimerais retrouver cette sensation de froid, de vide. J'aimerais sentir à nouveau mon ventre gargouiller devant ce placard vide.


Mais j'anticipe, et plus tard, j'aurai envie de retrouver cette sensation, ce besoin d'être perdu dans ma tête. Perdu entre deux pétard, entre deux toiles, entre deux Mi and L'au, entre moi et l'autre. Parceque je hais, parceque amour n'est plus un mot qui convient, parceque la confiance est une chose qui se reprend, parfois trés vite, parfois trés lentement. J'ai offert ma confiance, et à travers ses yeux je croyais en moi. Et j'ai enfin compris ce que mon père m'a toujours dis, que j'ai longtemps detesté chez lui, mais il à toujours eu raison. Je me suis fait violer, trahi, et ça ne se pardonne pas.


Plus tard, j'aurai une jolie maison dans le sud de la france, j'aurai une jolie voiture, et assez d'argent pour me construire la vie que je voulais, et je serais heureux, parceque je serais sans toi. Sans cette misérable indiférence, sans ce regard mielleux et manipulateur, sans ce sourire perfide. Je hais ce reflet de moi même, cette misérable existence. je hais simplement ce que je n'ai jamais réussi à imaginer à tes cotés, et j'aime cette encre rouge. J'aime le sang qui coule de mes doigts, j'aime la saveur de ma liberté.


Le temps que j'ai mis, ces deux ans sacrifiés, juste pour apprendre ce qu'il y a à savoir. Parceque j'ai oublier tous les détails, parceque les détails ne sont que des erreurs de scénario, parceque... parceque.



La voilà la belle histoire mon beu gaad'dan, la voilà la fin, voilà tout ce dénouement si attendu, et ce coup ci, même si quelqu'un ose prétendre que j'ai mal compris, j'en ai plus rien à foutre. On pourrait dire que je ne suis pas patient, que je suis un peu beunet, mais à quoi bon ? C'est tellement mieu d'éviter les questions, on peu débattre du bien et du mal toute sa vie sans jamais avoir de réponse, ce sont des questions que je ne me pose même plus.

Moi j'ai ma réponse, et elle me convient.

Oui, enfin.

mardi, mars 27, 2007

J'ai oublié Dimanche

Le matin y'a des rêves de folie dans la tête, Y'avais une fête chez Valentin, dans un grand jardin, et il y avait des micro dans lesquels je criais, et puis on jouait au rugby, mais sans ballon, ça ressemblais à une fête de gamin de 10 ans pas plus, genre jus d'orange et gateaux aux chocolat. Mais une fille plutot grande et maigre à vomis, il devais y avoir de l'alcool, et elle en avait partout la pauvre, les auters voulaient qu'elle revomisse pour prendre un échantillon parceque tout avait déjà séché sur elle, et c'etait à moi d'aller lui demander, elle rigolais mais je voyais bien qu'elle etait triste alors je l'ai prise dans mes bras pour la consolé. On ètait alongé sur un lit, Valentin à droite et à gauche Martin, et je regardais les photos pornos sur sa PSP, y'avais que des cul et des trous du cul, Martin était amoureux, ou malade, il etait bizar. Ensuite on est rentré, et la y'a Jean-Christophe qui a fait son apparition bien digne de lui. Il voulais que je le remmene chez lui, et moi je voulais pas, je lui explique alors gentillement que je ne pourrais pas aujourd'hui, que je tourne avant et que je ne pourrais pas faire demis tour, là il pete un cable, super déçu, il déscend de ma voiture. On est dans le bus, je le vois qui me regarde d'un air méprisant, il faut que je regarde ailleur, c'est genant. Par la fenetre, je l'aperçois sur une caleche avec des chevaux, il a surement décidé de rentrer tout seul. Puis un peu plus loin on arrive sur les lieu de l'accident, Jean-Christophe et sa caleche, un suicide de déception, mais il est vivant, et toujours déçu. Il faut que je retourne chercher ma voiture, je l'ai laissée garrée sur le parking de chez Valentin
. Fabien Engendre l'angoisse dans chaque rêve ou il pointe son nez, comme dans la réalité il veut toujours faire un truc que je ne veux pas qu'il fasse, et il le fait toujours et je dois l'en empecher, toujours de pire en pire, ça m'enerve. Je croix qu'il voulais détruire quelqu'un ou quelque chose. J'ai caressé le chat de Gilbert. Puis le reste j'en ai pas vraiment souvenir, faut dire qu'en ce moment je n'ai pas le temps de penser, à vrai dire, je ne pense même pas, sauf le soir. Dans la journée à part "oh putain non pas ça" ou "roh fait chier j'en ai marre" et "Woh ! encore tout ça" et quand même "aaah bientot fini" mon cerveau est inactif. Et puis apres tout, ce que je pense, on s'en fiche. Je pense mal, je pense éroné. Avec les gens j'me comporte comme un pd, j'reste dans mon coin sans parler, je parle pas d'la chatte des filles et des nichons parceque ça m'interresse pas d'en parler. Ces gens là je les connais pas, et je pense qu'il est bon d'établir une relation de confiance avant de balancer des vannes merdiques dans l'espoir de sympatiser. Je suis peut-être mal formé du crane, mais chez moi c'est conçu comme ça, chez moi, c'est un bordel rangé. Alors le matin je me lève pour aller travailler, sans réfléchir à ce que je vais faire, à ce que j'ai déjà fais, à ce que j'ai encore à faire, parceque c'est comme ça qu'on déprime.

Si je pense, je suis mal, si je pense, tout est à refaire. Alors le soir, je parle dans ma tête avec tout un tas de gens, pour en savoir plus, c'est spontané, sensé, et j'ai même pas l'impression d'être un con quand je fais ça, j'ai plutôt l'impression d'avoir compris !

Alors je pense encore et encore, et je dors, et je continue à penser, et je vais vers les gens, ils viennent vers moi, mes rêves sont une autre vie, réelle à une autre échelle, l'amie Salvia me l'a dit, me la montré. Lorsque l'on ferme les yeux et qu'on s'endors, lorsque qu'habituellement l'inconscient prend le dessus, je suis resté lucide, et je me suis tout de même endormis, et je les ais vu fermer les fenêtres, avec leurs petits yeux ronds, je les ai vu mettre en route la machine, et j'ai vécu spirituellement et psycologiquement à 100% dans cette réalité parralèlle.

Oui je suis fou, je suis internable, dérangé, déphasé... qui ne l'est pas ? chacun à sa mesure.


J'ai les mains sèches.