mercredi, août 19, 2009

Sarah, 19ans, pendue, pour rien...

Rêve à la con, angoissant comme c'est pas charmant, matinée de boulot, longue, et puis permis moto, acquis, et puis s'en vient bourrage de gueule à la sauvage, avec deux trois pétards, et puis le téléphone qui sonne.

Elle s'était pendue la veille dans l'appartement de ses parents, tout ça pour un chagrin d'amour, et moi j'étais là, à la voir morte, sans savoir quoi faire et pourtant. La drogue, l'alcool, j'etait comme Johnny Deep dans Blow quand il devient tout blanc à l'hopital quand sa femme acouche. L'angoisse de mon rêves prenait sa signification, et puis on a attendu, dehors, dans la rue. Moi je dormais, debout, les yeux bien ouverts pourtant, et une voix m'a réveillé, elle venait d'en bas, elle riait, et puis elle m'a vu, et je l'ai vue, et on s'est regardé, jusqu'a ce que.... et tu ne t'es pas arrêtée, et je ne me suis pas retourné.

C'est la seule chose que j'ai de bien à raconter depuis tout ce temps, une chose de bien, qui fait souffrir bien comme il faut, pour continuer à écrire ce livre que personne ne saura jamais lire.


Il y à un morceau d'equation qui déséquilibre tout, et à chaque fois, je dois savoir controler ma vie, quitte à perdre l'espoir de trouver un jour une réponse à la vie autre que celle que la mort nous donne.

jeudi, mars 19, 2009

Le soleil était néant

Il a perdu sa place, craignant de froisser les coussins, craignant de renverser les verres vidés de leurs alcools. Et la tête qui leurs tourne pour toutes les fois où ils se sont ratés, et les fois qu'ils rateront. Les vitamines instantanées, les mains qui tremblent, et les mots aussi, d'un souffle haletant qui de leurs bouches s'extirpent , comme un papillon qui sortirait de son cocon.

Mais qui sommes nous au fond ? et que sommes nous ? Juste des éclats de Dieu, de sa lumière.

Se rassembler, être un maximum à se retrouver dans la même idée, pour le même but, religions, sectes et manifestation. Croire en une même chose, si farfelue soit-elle.

Je voudrais la retrouver elle, je voudrai te trouver toi, je ne sais pas par ou commencer, la mère quittant son fils pour lui apprendre les responsabilités d'une vie, un trop plein d'amour empêchant la maturité, Et moi dans tout ça, perdu entre l'amertume, le vice, la folie, la raison et l'amour, perdu dans le vide que Dieu ne remplis pas. Ce vide dans ma tête qui ne sais que dire, que faire, et ce Dieu qui peut juste nous dire qui gagne, et qui perds. Ce Dieu que nous ignorons, en chacun de nous pour faciliter les choses.

Etre un homme bon, c'est travailler toutes sa vie pour les autres, c'est se consacrer à tous ces gens gens qui ne savent pas que Dieu est en eux, c'est accepter son sort et sa tristesse, c'est se forcer à faire des choses dérangeantes juste pour les plaisirs des autres, leurs rendre la vie facile.

Mais qui vous rendra la vie facile à vous, qui vous aidera ? le dieu qui est en vous. C'est juste une voix qui rassure, juste un brin de folie, une image en rêve.

J'ai pas fini de réfléchir, pas fini de me gacher, pas fini de tout chercher, parcequ'il n'y a pas de fin, et que tout recommencerai à l'identique,un cycle qui n'en fini pas, donnant vie à chacun en son temps, et nous, au milieu de rien, de tout ça, il nous faudra juste faire mieu la prochiane fois.

Et la nuit deviendra jour

mercredi, mars 11, 2009

D'une indifférence ou ..?

Même après toutes les raisons du temps, je reste là à penser à ce que nous aurions pu être, ce que nous avons étés, alors que c’est démuni d’espoir, et dénué de sens, mes rêves restent tiens, ceux dans lesquels tu es mienne, juste une main sur ton sein, une lumière au fond de tes yeux.

Tout ce que je peux dire c’est que je n’ai plus de valeur, le temps que j’ai passé au fond de nous deux m’a brisé le cœur, et mes sentiments échappés en peintures n’ont pas ris de mes pauvres douleurs.

Je hais ces lignes sans vies malgré moi, à chaque début de note, ou presque, ceci n’est pas une note non, ceci est un ramassi de rîmes naze, je cherche pas à en faire mais faut que j’en fasse, cherchez à en faire, qu’est-ce que ça pourrais donner…

Ou pas…

Tes mots n’ont plus de sens pour moi, enfin si, mais c’est le sens qu’elle à laissé en moi, et tu n’es pas elle, si tu es toi et que je ne suis pas fou, si tu es celle qui m’a brûlé les ailes. Je n’ai pas peur des fous, ni de ce sol blanc, c’est juste que j’ai toujours besoin de temps, et les pages ne s’écrivent pas vite, parce que tes mots ressemblent aux siens, parce que ton malheur se lie avec le mien, et parce que moi je suis partis loin d’elle, et puis toi tu l’entretiens, cet amour tueur que tu as au creux de tes mains, la vie est un malheur, après tout, tu n’y peux rien. Accroché à tes mots je cultive une douleur antérieur à ce qui entre nous s’est passé, parce que je n’ai pas pu te rencontré, ou pas voulu, trop tôt, trop peur, toi ou elle ? Serai-je déçu ou terrorisé ? Aurai- je pu être à toi si la page avait été tournée ? Le mystère est entier.

Enfance d’un point trouble est/et sombre, d’un esprit égaré mon cœur s’est emballé, moi j’ai perdu pied, dégringolé, je ne sais pas si tu aurais pu me sauver, mais ces trucs là ne se vivent pas à deux, ces trucs là ne se vivent même pas. Ces trucs là sont des esprits égarés, qui sont là, même là je croix, mais je ne pense pas. Je subit parfois.


10mars2009

[ Des gens rient et pleurent dans ma maison, son coeur est partis , meurtri, je suis seul, lui aussi, maintenant…


Maman ne sera pkus qu’un souvenir, balançant entre les rires et les pleures. Dans la maison de desordre, les poussières de son corps nous ennivre de ses souvenirs, de sa vie passée, l’amour est plus que resté, celui qu’elle nous a donné, et que l’on a pris, sans parfois lui rendre. Elle me gagne, chaque jour un peu plus, elle nous gagne, à qui le sent, et c’est bien ainsi.

La sensibilité de sa vie, ses larmes pour des gouttes de rien, elle me manque, ou bien je me rassurre, mais je l’aime, elle m’a donné la vie, à gardé la mort pour elle, et pourquoi ? parceque, je comprend, elle n’est plus là maintenant. En moi, elle a gagné mon cœur, et tous ces instant passé sans moi, alors que j’etais simplement là, sans y faire attention, juste là, pas loin, en bas, sur le fauteuil devant un etélé qui ne disait rien de bon, et moi, devant cet ordi, qui celon moi ne m’a jamais donné rien de bon, si ce n’est toi qui m’a détruis, moi, qui t’aie détruite. Nous aurions du nous rencontrés autrement, plus tard, moi qui ai toujours été trop tot, et trop faible.

Je n’était qu’un petit mordeau de rien, un bout de vie, qui n’a plus que ça comme souvenir, une mère qui le blame pour ce qu’il est, parce qu’ il est déjà. Je ne lui en veux pas, mais m’en veux à moi, lui en avoir voulu pour ça, l’avoir tuée, peut-etre, pour ça… Moi qui pensai alors mal faire, mais alors donc de mieu ? Peut-être l’image lumineuse d’un cadeau mensuel dans le noir intense de l’immensité de l’immaginaire… mais elle ne savais pas, et je n’etais qu’un morceau, de rien du tout.

Le temps, il s’arrete, toujours, et les portes sont partout, et personne ne les vois, même pas moi, mais je le sais, par les rêves, par le cœur et l’esprit. Et le compteur d’eau, qu’il faux payer, sur place, les mains dans cette eau si pure que même la vardure autour semblais si échapper, sur ses rîves pétrolières et industrielles, exalant tant de sureté en ces endrois insolites ou elle m’a emmenné, et même sur ces colines et ses vallée, de tous ce mots qu’elle me chuchottais pour me rassurrer, son absence est un long voyage, pour revenir à ses cotés, avec les gens qui s’aiment pour ce qu’il sont et non pour ce qu’il ont étés. Les différences sont minîmes, et l’âme n’est qu’une idéologie abusive chez les scientologues, leurs textes sont juste assez choquant pour extraire les gens inhumains, les voix sans âmes, celles qui n’ont plus de racines ; de leurs paroles pure derière ce trouble superficiel que les profondistes percent.

Vous n’arriverriez probablement pas jusque là, et dans le cas contraire, les archétypes vous voient, et vous les voyez, le voyage deviens alors réel, le rêve est donc réalité, et la soi disante vérité ne connais plus ses propriétés. D’un esprit dérangé naît l’autre vérité, celle qui valide toutes les autres, et les mets à mort l’instant suivant.


Tappant les barreau de fonte, certis dans la roche par les années du temps qui ont marqués la vie, à l’appogée de l’enfer, de la souffrance universelle et constante de la raison de la vie, la question à laquelle se répond parceque. Cette question qui renouvelle le tout, la souffrance et la joie, la vie et la mort.

Ce qui nous à animés jusqu'à ce jour, ce qui nous annimera en rore, après la fin imminente que tous connaitrons, pour leurs absence dans le monde originel que nous avions batis, ce monde qu’ils ont détournés pour donner la médaille au mal.

Les dessins, ne sont pas suffisant, mes images doivent se peindre et s’entendre, je doit briser la glace qui leur a servi à me conserver, de tous ces maux que j’ai cru endurer pour toi, n’est-est-ce pas plutôt pour elle, ou même pour moi… apres la fin se trouve l’information, le début, nous avons tous vu le passé, et nous voyons pour la plupart le futur, vous pourriez ne même pas vous en rendre contre, d’où l’esprit dérangé, mais le mot était mal choisi, plutôt l’esprit détourné, du sens commun préétabli par le passé, plutôt que le sens incertain de l’avenir proche, certain sont leaders du futurs et d’autre ne sont même pas futurs, et si je me fous de quel groupe je fais parti c’est bien parceque le sens imatériel et trop important et gigantesque pour le rien que je suis, puisque parmis l’infiniment grand et l’infiniment petit se trouve l’infiniment vivant, l’information, qu’elle qu’elle soit, je croix que ce sont les esprits tourmentés qui régissent le monde et les capacités humaines. Leurs détachement de la réalité si important contraste avec la soi disante réalité de manière à ce que l’on choisisse la simplicité…

Pourtant l’on engage la complexité, pour réaliser ce projet, cette finalité, que l’on traduit par eternel recommencement, l’évolution, nombre d’or, qui à bien plus inventer le cercle ou le carré ? Dites moi… je reste sans voix, moi. ]

J'aurais parsemé des graines de moi sur les jardins d'automne, parler de mes mains comme ma voix vous a touché, faisant vibrer le chapeau de ces connes, lorsque les cris que mon esprit résonne, les regrets vous serons enfin apaisés. (?)

Agacé par le drame, ou peut-elle bien être ? Pas nul part, et même nul part est un endroit... je crois...

je la reverrai.

jeudi, février 26, 2009

Je suis vide.
Tu m'as vidé.
Elle m'a trompé.
Nous nous sommes éloigné.
Vous m'avez montré du doigt.
Ils m'ont toujours paru meilleurs que moi.

Mais je n'ai jamais essayé.
Et tu as reculé apres le premier pas.
Et elle s'est joué de moi.
De nous, avec nos histoires.
Sans vous je ne serai rien.
Mais ils m'ont rattrapés.

Tous les souvenir que j'ai gâché.
Ces instant où je me sentais nu.
Devant toi, pour toi.
Même si tu m'a vu, et écouté.
Tu me semblais déçue, et dégoutée.

Ce n'est pas sur la matrice que tout recommencera,
Nul part peut-être, car je me fait de fausses idées.
Et puis les tiennes sont trop bien cachées,
Deriere des couleurs que je ne te connaissait pas.

Peut-être je parle seul, de ma solitude,
Et peut-être je parle dans le vide,
Pour quelqu'un qui ne comprend pas,
Et l'autre qui ne comprend plus,
Tout comme moi, car je suis perdu.


Ce n'est pas un poeme, c'est bien trop moche pour en être un, pas même assez mélodieux pour une chanson.

Ce ne sont que des mots de rien, parlant du néant qui tente de se leurrer lui même.
Je ne vois pas mon avenir, pas sans toi, ou alors il serait entouré de murs épais, étouffants les cris atroces aux restes du monde.

Je me trompes et je devrais juste oublier, celle qui n'est pas toi, celle qui ne comprendrais pas. Je ne sais même plus à qui je parle, en tous cas ce n'est plus pour moi, je me suis éparpillé dans les confins d'une paranoïa aigüe.

Ici je suis foutu, ici je ne suis pas moi.

Moi et mes souvenirs, où serai-je si ils n'étaient plus là, que serais-je, si je n'étais pas là.