Je ne veux plus jouer, je n'ai jamais aimé ce jeu de toutes façons, et avec le décalage horaire c'est encore pire. Moi je voulais jouer, croyant qu'on gagnerais tous deux, croyant qu'on prendrais le temps de jouer correctement, tranquillement et de manière intelligente.
Mais nous avons joué trop vite, pressés de nous voir gagné ce qu'on avait réussi à touché du bout des doigts auparavant. Impatient du resultat, notre impatience nous à mener là, à se demander comment nous n'avons jamais su pourquoi. Et nous ne savons toujours pas, et on ne se demande plus. Ce jeu dont les règles n'existent pas est bien trop vaste pour se retrouver au même instant sur la même case et lancer les dés main dans la main pour faire de chaque pas une victoire. Seulement c'est une torture, bien loin de la victoire et las de s'impatienter, il vaut mieu arreter, quitte à jouer sans le savoir, puisque tu ne m'as jamais laissé savoir pourquoi je jouais.
Au fond, je ne sais pas qui tu es, je ne sais plus, ou bien je crois que tu n'es pas celle que tu prétend être, je ne sais plus qui est qui. Tu ne sais plus qui je suis, tes pensées ne sont plus à moi, et tes larmes glissent sur la carapace que tu m'as laissé construire. Mais nos souvenirs sont à nous. C'est pas facile facile, il ne faut pas être pressés, il ne faut rien laissé au hasard dans l'évidence de nos yeux.
J'ai du mal à croire, tu sais. Ce que je crois est pour la plupart du temps irréel, et tes pensées en eternelle contradiction avec tes paroles, ne jouons nous pas trop serrés d'aussi loin que nous sommes.
Je ne joue pas, je n'ai jamais joué, mais je t'ai laissé faire, et j'y ai cru, longtemps, peut-être même encore un peu, tout en esperant que tu finirais par arreter de te jouer de moi, de jouer avec moi.
Tu as arreté, et puis tu t'es cachée pour recommencer, et forcement ce n'est plus drole, dans un sens tu l'as bien mérité, Si je ne joue plus c'est bien par ta faute, tu m'en a dégouté, parceque tu est allée trop loin, gagné trop souvent, oui, je suis un mauvais perdant, oui tu es trop forte, et oui, tu ne pleure plus, peut-être parceque mes larmes on séché il y a bien longtemps, peut-être parcequ'il faudrai à présent savoir pourquoi on joue si on n'a plus la force de jouer pour savoir pourquoi.
Ma boite aux lettres est vide, et il fait drolement froid sous mon petit pont. Il y a des promesses envolées qui se sont probablement écrasées, mais d'autres que nous attraperons en vol si toutes fois nous savons voler. Il y a des mensonges qui se sont enraciné, mais qui pourraient mourir si nous avons la force de les deterrer, alors il n'y a plus qu'a prendre des cours de vol et a faire de la musculation. Pour ne plus rien laisser au hasard dans l'évidence de nos yeux.
Mais nous avons joué trop vite, pressés de nous voir gagné ce qu'on avait réussi à touché du bout des doigts auparavant. Impatient du resultat, notre impatience nous à mener là, à se demander comment nous n'avons jamais su pourquoi. Et nous ne savons toujours pas, et on ne se demande plus. Ce jeu dont les règles n'existent pas est bien trop vaste pour se retrouver au même instant sur la même case et lancer les dés main dans la main pour faire de chaque pas une victoire. Seulement c'est une torture, bien loin de la victoire et las de s'impatienter, il vaut mieu arreter, quitte à jouer sans le savoir, puisque tu ne m'as jamais laissé savoir pourquoi je jouais.
Au fond, je ne sais pas qui tu es, je ne sais plus, ou bien je crois que tu n'es pas celle que tu prétend être, je ne sais plus qui est qui. Tu ne sais plus qui je suis, tes pensées ne sont plus à moi, et tes larmes glissent sur la carapace que tu m'as laissé construire. Mais nos souvenirs sont à nous. C'est pas facile facile, il ne faut pas être pressés, il ne faut rien laissé au hasard dans l'évidence de nos yeux.
J'ai du mal à croire, tu sais. Ce que je crois est pour la plupart du temps irréel, et tes pensées en eternelle contradiction avec tes paroles, ne jouons nous pas trop serrés d'aussi loin que nous sommes.
Je ne joue pas, je n'ai jamais joué, mais je t'ai laissé faire, et j'y ai cru, longtemps, peut-être même encore un peu, tout en esperant que tu finirais par arreter de te jouer de moi, de jouer avec moi.
Tu as arreté, et puis tu t'es cachée pour recommencer, et forcement ce n'est plus drole, dans un sens tu l'as bien mérité, Si je ne joue plus c'est bien par ta faute, tu m'en a dégouté, parceque tu est allée trop loin, gagné trop souvent, oui, je suis un mauvais perdant, oui tu es trop forte, et oui, tu ne pleure plus, peut-être parceque mes larmes on séché il y a bien longtemps, peut-être parcequ'il faudrai à présent savoir pourquoi on joue si on n'a plus la force de jouer pour savoir pourquoi.
Ma boite aux lettres est vide, et il fait drolement froid sous mon petit pont. Il y a des promesses envolées qui se sont probablement écrasées, mais d'autres que nous attraperons en vol si toutes fois nous savons voler. Il y a des mensonges qui se sont enraciné, mais qui pourraient mourir si nous avons la force de les deterrer, alors il n'y a plus qu'a prendre des cours de vol et a faire de la musculation. Pour ne plus rien laisser au hasard dans l'évidence de nos yeux.