mardi, octobre 09, 2007

les opposés

Quelle importance ? ce n'etait qu'un rêve, un simple meurtre. Mais ça ne dérangera personne, il n'etait pas important, même pas assé pour que je le tue, trop tard, c'est fait. C'est même encore à faire.

Ce n'est pas une vie magnifique, au moindre souci je perds tout contrôle, toute envie. Est-ce fini ? je l'espere, apres ça, tout est détruit. Et reconstruire... par cette pluie, c'est impossible. Elle à gagné finalement, elle l'a eu sa gifle, et j'ai perdu. Ce couteau dans mon coeur, mais je le sais déjà, demain il ne sera plus là et la cicatrice ne se verra même pas, elle ne s'est jamais vue... Il n'y en a jamais eu.

Il fait nuit, presque, déjà, mais pas encore. Y'a d'autres routes, bien plus belles que celle là, bien plus belle que cette route que je ne choisi pas.
Recyclage d'images, recyclage de sons, recyclage d'émotions, c'est bon. Le froid m'enveloppe, me bouche le nez, m'enrhume, la solitude, la vraie. L'hiver approche, je vais pouvoir me rhabiller, m'emmitouffler, me cacher. Garder la chaleur derriere ces morceaux de tissus. Le froid m'inspire. Reviens le moment le plus triste de l'année, le plus solitaire. La glace qui craque, la neige qui gronde sous les pas. Nous les anges de la nature. Survivre sous un ciel gris, la nuit à 5heure, la nuit qui dure. La solitude qui n'en fini pas, mais cette années je serais seul sous mon manteau pour avoir chaud, cette année voilà du nouveau. Un cycle. Recycle.

C'est triste et déprimant, peut-être est-ce que j'attendais, sentir les palpitations de mon coeur simplement au contact du vent froid qui me frappe le visage et qui s'engouffre dans mes manches. Savoir que je ne sais rien. Que la vie n'est qu'un trouble flou dont on ne peut rien comprendre. Juste attendre et voir ce qui se passera, parceque c'est le seul pouvoir que l'on a.

User du temps pour juste le trouver à son gout, profiter des sensations; c'est pas ça qui va me tuer. Je n'ai pas froid, je ne suis pas malade, je n'ai pas mal, je ne suis pas seul. Peut-importe ce que je dis, je le dis, c'est moche ou c'est joli je m'en fiche. Je sais que ce que je ressent est à la limite de l'indescriptible.

J'aime jusqu'a en pleurer, parceque c'etait si triste, ça sera si triste.