Je suis vide.
Tu m'as vidé.
Elle m'a trompé.
Nous nous sommes éloigné.
Vous m'avez montré du doigt.
Ils m'ont toujours paru meilleurs que moi.
Mais je n'ai jamais essayé.
Et tu as reculé apres le premier pas.
Et elle s'est joué de moi.
De nous, avec nos histoires.
Sans vous je ne serai rien.
Mais ils m'ont rattrapés.
Tous les souvenir que j'ai gâché.
Ces instant où je me sentais nu.
Devant toi, pour toi.
Même si tu m'a vu, et écouté.
Tu me semblais déçue, et dégoutée.
Ce n'est pas sur la matrice que tout recommencera,
Nul part peut-être, car je me fait de fausses idées.
Et puis les tiennes sont trop bien cachées,
Deriere des couleurs que je ne te connaissait pas.
Peut-être je parle seul, de ma solitude,
Et peut-être je parle dans le vide,
Pour quelqu'un qui ne comprend pas,
Et l'autre qui ne comprend plus,
Tout comme moi, car je suis perdu.
Ce n'est pas un poeme, c'est bien trop moche pour en être un, pas même assez mélodieux pour une chanson.
Ce ne sont que des mots de rien, parlant du néant qui tente de se leurrer lui même.
Je ne vois pas mon avenir, pas sans toi, ou alors il serait entouré de murs épais, étouffants les cris atroces aux restes du monde.
Je me trompes et je devrais juste oublier, celle qui n'est pas toi, celle qui ne comprendrais pas. Je ne sais même plus à qui je parle, en tous cas ce n'est plus pour moi, je me suis éparpillé dans les confins d'une paranoïa aigüe.
Ici je suis foutu, ici je ne suis pas moi.
Moi et mes souvenirs, où serai-je si ils n'étaient plus là, que serais-je, si je n'étais pas là.
jeudi, février 26, 2009
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