vendredi, juillet 27, 2007

Bordeaux Chateaux Montbel de 95, accompagnée de tabac, de Caprice, et je perds tout ce que j'avais. Avais-je quelque chose ? L'envie de peindre, de prendre des photos, maintenant j'aurai plutôt envie de me perdre dans le décor, inhaler la fumée salvatrice.
Je pense des choses et je ne les fait pas, par envie, par ennui, par oubli surtout. Je ne m'écoute pas, jamais. Juste quand il ne faut pas, mais peut-être quand il faut, tout pourrait être pire, tout sera peut-être mieu... ou pas. Je lui dit trop, et elle pas assé. relatif. j'ai peind un futur que j'aime mais compliqué et donc effrayant. Il est à ma porté, comme jamais. Un futur impossible, je ne m'écoute pas. Si je m'écoutais... le chaos, encore, j'en ai envie mais pas comme ça, pas encore c'est trop tot. Les lignes temporelles de ces vies sont exponentielles, j'en ai peur car j'y croi bien que je ne le veuille absolument pas. Je peind moche ces derniers temps, mais je peind vrai... non je ne dois pas croire ça, mais est-ce si mal de savoir où je met les pieds ? Dangeureux ? Inutile ? Je peind et je ne fais rien. Je devrais détruire cette toile qui me fait mal. Ou bien juste la modifier, mais toujours oui toujours je me souviendrai de ces directions, toujours je saurais qu'elle meure et que je pleure, toujours je saurais qu'un jour tu ne m'aimeras plus. Je n'ai fais que peindre l'amour qui m'entoure, mais les détails ne sont-ils pas plus importants que la finalité ? malheureusement ce n'est pas ce que je croi aujourd'hui.

La solitude est tellement plus simple, mais aussi tellement plus triste. Il y a des jours où on ne crois en rien, il y a des jours où la plus grande question du monde reste sans réponse, esprit trop faible pour en trouver une et y croire. L'Instant du chaos est si bon, si complet parceque si vide et dénué de sens qu'il en trouve des millions sans pour autant en choisir un seul. Cet instant, c'est la réponse, parce qu'a cet instant il n'y à plus de questions.

Etais-je en plein dedans ou juste aux portes ? Etait-ce assé chaotique pour que je puisse y entrer ? je ne sais pas, mais juste ce qu'il faut pour survivre et m'introduire dans un futur plus qu'enrichissant. Suivre, déjouer où éviter le plan. Tous ces paramètres si complexes qui influence chaque jours le cours de la vie, je ne suis pas le seul à vouloir connaitre la programmation, je ne suis pas le seul à attendre l'éblouissance cosmique que procure le dernier instant, vu comme le premier grand éveil. Mais pour ça ne faut-il pas vivre et aimer ? peut importe pour qui et pourquoi, je ne saurai qu'au dernier instant, pour acceder au suivant.


Me perdre dans l'univers ou dans les mondes inferieurs, peut importe, me perdre.

dimanche, juillet 22, 2007

je ne veux pas être sauvegarder automatiquement
I dont want to be autosaved

Ouai je suis bilingue, et méga bon en plus !



Comme d'un bizar, faut que j'la joue hasard, mais où tomber ? sur quoi rebondir ? tout oublier sans jamais revenir! Instinct sauvage, pouvoir dire "là parceque", ne plus me poser de choix, suivre la première indication, ne pas savoir pourquoi. Dire que je m'en fout quand je m'en fout et dire que ça me plait quand ça me plait. Ne pas à avoir à dire pourquoi, ou comment.

Donner sa vie à soi même, impulsivité, agir sans réfléchir, réfléchir c'est se poser des questions idiotes qui amennent à des réponsent encore plus connes.

Deux anges du paradis en voiture :
-Attention copain, un arbre !
PAF
-Wouh ! ça chatouille !

Deux anges des enfers en voiture :
-Attention copain, un arbre !
PAF

Serions nous en enfer ? ou bien non mais alors le paradis n'existe pas. La terre existe elle, mais quoi d'autre ? le noyau terrestre ? le froid spatial ? L'homme ! aahh l'homme, l'homme, pour tout existe dans la mesure où ce qui le contredit n'existe pas. Et...le pire ou le meilleur y'a surement des avis partagés dans la salle, c'est que ça marche. Mais le vrai probleme, c'est que l'homme parle beaucoup voire meme trop. le souci c'est que tout le monde n'est pas dérangé par les même choses, si bien que tellement de gens finnissent par le dire, le croire, et du coup ça fini par exister pour de bon, y'a plein de truc qui existe maintenant qui n'existait pas avant, l'évolution me direz-vous, bah j'vous répondrais bah ouai okay, mais l'évolution de la déchéance de la race humaine la seule du cosmos, la seule l'unique du monde spacial. Sa pitoyable déchéance vers un avenir dont on crois avoir besoin parceque qu'on fini par croire en ce qui n'existait pas.

Créer créer créer, juste pour détruire détruire et encore détruire jusqu'a ce qu'il ne reste plus rien ni à créer ni à détruire. Il y a une fin à tout ça, c'est pour bientot. Tout sera détruit et tout sera recréer sans plus jamais pouvoir être détruit. meilleur ou pire? Ceux qui verrons verrons bien.

Mais est-il trop tard pour faire marche arrière ? est-il trop tard pour tout changer ? et si on pouvais tout détruire, sans rien reconstruire ? si on pouvais s'envoler sans jamais atterrir ? Et pouvoir vivre sans jamais mourrir ?

On a qu'une vie, pas la dernière ni la première. mais si nous puisont les âmes et les esprits terrestres pour les inserer dans des cerveaux humains qui en font mauvais usages, que restera-t-il à la fin? Oui il y aura une fin, mais il ne restera rien, ni vous, ni toutes ces âmes en perditions qui auront préférer faire du business plutot que de s'élever vers de nouvelles ères cosmiques. Là où le matériel est irréel, là où les esprit communiques leurs images, là où les esprits vivent en nous. Surement juste une autre facette du monde, une dimension d'un autre temps peut-être, un futur, où juste l'infiniment petit.

Je rêve que je peut voir plus près mais vraiment plus près, sans avoir à me déplacer, je rêve que je marche sur les murs, avec la vue d'une fourmis.

Plus pres, encore s'il vous plait!
Je veux voir le monde, le vrai.