Bordeaux Chateaux Montbel de 95, accompagnée de tabac, de Caprice, et je perds tout ce que j'avais. Avais-je quelque chose ? L'envie de peindre, de prendre des photos, maintenant j'aurai plutôt envie de me perdre dans le décor, inhaler la fumée salvatrice.
Je pense des choses et je ne les fait pas, par envie, par ennui, par oubli surtout. Je ne m'écoute pas, jamais. Juste quand il ne faut pas, mais peut-être quand il faut, tout pourrait être pire, tout sera peut-être mieu... ou pas. Je lui dit trop, et elle pas assé. relatif. j'ai peind un futur que j'aime mais compliqué et donc effrayant. Il est à ma porté, comme jamais. Un futur impossible, je ne m'écoute pas. Si je m'écoutais... le chaos, encore, j'en ai envie mais pas comme ça, pas encore c'est trop tot. Les lignes temporelles de ces vies sont exponentielles, j'en ai peur car j'y croi bien que je ne le veuille absolument pas. Je peind moche ces derniers temps, mais je peind vrai... non je ne dois pas croire ça, mais est-ce si mal de savoir où je met les pieds ? Dangeureux ? Inutile ? Je peind et je ne fais rien. Je devrais détruire cette toile qui me fait mal. Ou bien juste la modifier, mais toujours oui toujours je me souviendrai de ces directions, toujours je saurais qu'elle meure et que je pleure, toujours je saurais qu'un jour tu ne m'aimeras plus. Je n'ai fais que peindre l'amour qui m'entoure, mais les détails ne sont-ils pas plus importants que la finalité ? malheureusement ce n'est pas ce que je croi aujourd'hui.
La solitude est tellement plus simple, mais aussi tellement plus triste. Il y a des jours où on ne crois en rien, il y a des jours où la plus grande question du monde reste sans réponse, esprit trop faible pour en trouver une et y croire. L'Instant du chaos est si bon, si complet parceque si vide et dénué de sens qu'il en trouve des millions sans pour autant en choisir un seul. Cet instant, c'est la réponse, parce qu'a cet instant il n'y à plus de questions.
Etais-je en plein dedans ou juste aux portes ? Etait-ce assé chaotique pour que je puisse y entrer ? je ne sais pas, mais juste ce qu'il faut pour survivre et m'introduire dans un futur plus qu'enrichissant. Suivre, déjouer où éviter le plan. Tous ces paramètres si complexes qui influence chaque jours le cours de la vie, je ne suis pas le seul à vouloir connaitre la programmation, je ne suis pas le seul à attendre l'éblouissance cosmique que procure le dernier instant, vu comme le premier grand éveil. Mais pour ça ne faut-il pas vivre et aimer ? peut importe pour qui et pourquoi, je ne saurai qu'au dernier instant, pour acceder au suivant.
Je pense des choses et je ne les fait pas, par envie, par ennui, par oubli surtout. Je ne m'écoute pas, jamais. Juste quand il ne faut pas, mais peut-être quand il faut, tout pourrait être pire, tout sera peut-être mieu... ou pas. Je lui dit trop, et elle pas assé. relatif. j'ai peind un futur que j'aime mais compliqué et donc effrayant. Il est à ma porté, comme jamais. Un futur impossible, je ne m'écoute pas. Si je m'écoutais... le chaos, encore, j'en ai envie mais pas comme ça, pas encore c'est trop tot. Les lignes temporelles de ces vies sont exponentielles, j'en ai peur car j'y croi bien que je ne le veuille absolument pas. Je peind moche ces derniers temps, mais je peind vrai... non je ne dois pas croire ça, mais est-ce si mal de savoir où je met les pieds ? Dangeureux ? Inutile ? Je peind et je ne fais rien. Je devrais détruire cette toile qui me fait mal. Ou bien juste la modifier, mais toujours oui toujours je me souviendrai de ces directions, toujours je saurais qu'elle meure et que je pleure, toujours je saurais qu'un jour tu ne m'aimeras plus. Je n'ai fais que peindre l'amour qui m'entoure, mais les détails ne sont-ils pas plus importants que la finalité ? malheureusement ce n'est pas ce que je croi aujourd'hui.
La solitude est tellement plus simple, mais aussi tellement plus triste. Il y a des jours où on ne crois en rien, il y a des jours où la plus grande question du monde reste sans réponse, esprit trop faible pour en trouver une et y croire. L'Instant du chaos est si bon, si complet parceque si vide et dénué de sens qu'il en trouve des millions sans pour autant en choisir un seul. Cet instant, c'est la réponse, parce qu'a cet instant il n'y à plus de questions.
Etais-je en plein dedans ou juste aux portes ? Etait-ce assé chaotique pour que je puisse y entrer ? je ne sais pas, mais juste ce qu'il faut pour survivre et m'introduire dans un futur plus qu'enrichissant. Suivre, déjouer où éviter le plan. Tous ces paramètres si complexes qui influence chaque jours le cours de la vie, je ne suis pas le seul à vouloir connaitre la programmation, je ne suis pas le seul à attendre l'éblouissance cosmique que procure le dernier instant, vu comme le premier grand éveil. Mais pour ça ne faut-il pas vivre et aimer ? peut importe pour qui et pourquoi, je ne saurai qu'au dernier instant, pour acceder au suivant.