mercredi, octobre 29, 2008

Peut-on donner son âme au diable sans en être au courant ?

Perdu entre le passé et le futur, ou le passé et le présent.
J'aurai du tourner la page quand il était encore temps, mais je suis encore en bas age, je ne suis qu'un pauvre gland.

Je ne pourrai plus jamais, pour personne, à part peut-être..

Et je joue encore à jouer à ce jeu minable, malgré moi, ce jeux qu'elle m'a appris tu vois, ce jeu qui n'existe même pas. Et qui fait souffrir, et qui ne me fait même pas rire.

J'aurais bien voulu, mais je crois que je ne peut pas te suivre, je n'ai plus la force de courir.

J'en ai marre d'être là, dans le vide glacé du cyber espace, putain je n'existe même pas, je ne suis qu'un putain de mot sur un putain d'écran.

Exister à tes yeux; je serait juste un putain d'idiot sur un putain de divan.
C'est déjà moins charmant que l'imagination qui tourne autour des mots, mais au moins tu ne perds pas ton temps.

N'empêche que moi, je sais toujours pas si je l'ai perdu ou non, mon temps.
A vrai dire, le temps n'étais plus, comme quand on rêve. Mais quand on se réveille, c'est toujours trop court, beaucoup trop court. C'est probablement ça qui donne l'illusion du rêve.

Je n'ai jamais cessé.Et tous ces jours.Affreux.Je pense et dis que.Mais pourtant, je sais que ça ne marchera pas éternellement.

J'arriverais jamais à écrire cette putain de nouvelle page sans revenir m'inspirer de la précédente. Je suis foutu, perdu, irrécupérable.

J'ai besoin de.Parce que c'est dur.Je part en.pas en voyage, je ne te donne pas d'espoir, j'en ai même plus assez pour me sortir du noir.

vendredi, octobre 17, 2008

J'ai merdé, grave

Ce blog n'a plus aucun sens, j'y étale des choses qui mélangées ensemble se contredisent, j'écris des choses destinées à être interprétées de la mauvaise façon.
Quelques mots qui subsistent entre d'autres qui essayent de prendre de la valeur, en vain.

Ce blog est une tache, je suis le mieux placé pour le dire.

Il a cessé d'avoir un sens le jour ou j'ai décider de jouer à un jeu débile dont je ne connais ni les règles, ni les limites, et qui le sais d'ailleurs, et quel jeu dabord ?

De quoi parle-t-on ici? de moi, de vous? probablement de rien.

Je parle toujours en généralité, cela laisse un vague énorme, on pourrait surfer dessus. Je ne donne aucune précision, qui sait de quoi je parle réellement ? moi même par moment j'en sais rien.

Je ne sais pas vers quoi j'avance avec ça, peut-être que je recule...

C'est le jeu de la confusion, je sais, je dis des trucs mais je dis rien, je dis blanc mais c'est noir, mais peut-être blanc, c'est le jeu ou il faut laisser planer le mystère pour attraper une proie, et laisser planer le doute pour ensuite aspirer la force de sa détresse, ce ne n'est rien de plus qu'un banal jeu de vampire.

Je ne sais pas si je viens de l'apprendre, ou si on me l'a appris, ça n'a pas d'importance qui est le créateur.

Je ne veux pas être un vampire, alors je vais arrêter là.
Et recommencer ailleurs, mais sans jeu, cette fois.

jeudi, octobre 16, 2008

assez d'espoir

je suis fatigué.

j'ai des souvenirs qui s'envolent.

des mots en pagaille dans ma tête, des mots qui sans elle ne veulent plus rien dire.
J'en ai fabriqué d'autres, moins beaux, faux.

maintenant, quand j'y pense.

Je me suis tant acharné à rejeter ce que j'étais que j'ai oublié d'en garder le meilleur.

Si on savais ce qui nous attendais au delà de la mort, nous aurions probablement tous envie de crever. Mais on ne sait pas, alors on attend, dans la sérénité, ou la peur.

A la rupture d'un sentiment fort, on est comme mort. On essaye de revivre, mais tout est fade et dégueulasse; on essaye de s'envoler mais les ailles ne battent plus pareil, alors on chute et on s'écrase.
On fini par se dire qu'on est plus rien, et puis ensuite on parle à la troisième personne du pluriel, parce qu'on ne se considère même plus unique pour la premiere personne, alors on, on et on, parce que c'est tellement banal de s'éclater la face au sol avec autant d'acharnement, de volonté à vouloir s'y éclater, alors qu'on pouvais croire à la lune.
On, parce que je suis seul.
On, parce qu'on se croit toujours deux; ou plus.

Je ne sais pas plus que toi qui tu es, tout se mélange dans ma tête, les mots, les conversations, les sentiments et les information, un savoir vide de tout sens. Je ne sais plus qui est qui et qui fait quoi, je suis en proie à une confusion totale, un brouhaha cérébral. Des idées se repoussent et se complètes sans arrêt à la recherche de connections pures, idée immuable dans l'esprit, vérité pure. Je cherche et je trouve, et puis j'oublie, et puis je me dis finalement que je ne suis qu'un pauvre paranoïaque qui a tellement conscience de son sort qu'il en devient ridicule, misérable.

Surtout quand je fini vraiment par me dire que ma paranoïa est due au fait que je crois être parano. Le suis-je ou pas ?? Bordel de merde, si on part sur cette voie la ou ne peut jamais vraiment rien savoir dans ce monde de matérialisme et d'idéologies pourries.

Je fouille est je farfouille dans ce bordel qu'est devenu ma cervelle à la recherche de....de... de je sais même pas quoi finalement. Et je crois que c'est justement pour ça que je suis sur la bonne voie, la réponse, le pourquoi du moi-même.

C'est triste et égoïste, ou peut-être juste égoïste qui sait, pas moi. Je me laisse guider au fil de mes pensées jusqu'à ce qu'une force dévie ma trajectoire et/ou m'emporte avec elle.

mercredi, août 13, 2008

il me reste une plume..

Et si seulement je savais, mes doutes ne m'ateingnent plus. J'avoue avoir manqué bon nombres d'occasions, de rêves et de chansons. J'avoue être devenu le raté de la vie que j'ai loupé, dans ses débuts, dans notre apogée.

Aujourd'hui, j'avoue ne plus savoir à qui je parle, j'admets l'avoir mérité. Dieu (moi) m'en a donné l'opportunité, et je n'ai pas su la reconnaitre... je ne sais plus qui vous êtes, au prix d'avoir apris à me connaitre, mauvais et destructeur, mais bon et finalement bienfaiteur. La personalité de Dieu, pas le vôtre, le mien, seulement moi, chaotique et psycopathe, parce que la raison de destruction dépasse celle de création. Parce qu'il sait que le mal se change en bien et que mourir ne nous fait rien.

lundi, mai 12, 2008

j'ai des idées noires, là, ce soir. en éteingnant ma télé, n'ayant de mieux à faire je m'efforce de trouver le sommeil, les yeux toujours ouverts, je dois trouver un sommeil profond, mais si la pénombre de mes paupières me fait peur ce soir et que mes pensées morbides me laissent croire que je ne reviendrais pas de ma nuit, alors pourquoi vouloir dormir?

la verite, je m'ennuie et me detruit. et ce soir depuis longtemps, je n'ai rien pour m'aider a dormir, rien pour me faire croire que je suis un génie. Parceque je ne suis pas grand chose.
la vie est tellement laide parfois, j'en perds tout espoir, et on sait tous ce que ça fait une vie sans espoir...

juste fatigué, comme devant un film chiant qu'on voudrais zapper. comme les publicités a la télé, on voudrai les accelerrer, mais on ne peut pas. ma vie c'est pareil... j'voudrai juste savoir comment ça se termine, arriver a ce fameux instant ou seuls quelques souvenirs precieux temoignerons de ma vie. cet instant ou comme arrivé d'une autre planete ou d'une autre epoque je redecouvrirai mon existence en une seconde pour enfin l'arreter là et dormir pour de bon, enfin.

je ne suis pas quelqu'un de bien, je sais plus trop pourquoi mais il y aurai parfois de tres bonnes raisons.

mardi, avril 15, 2008

Tu

las de solitudes, las de toutes les conneries qu'on imagine. Ces rêves que l'on a, ces films que l'on se fait, si beaux. Mais beaucoup de choses ont une fin, de peur de la douleur nous ne faisons rien. peur de voir se terminer ça sous nos yeux. l'innocence de ce que nous pretendons avoir, seulement imaginé. comme un signe du temps qui nous dis "non, tu vas le regreter". pour toutes ces histoires ratées. toujours là pour en parler. laissons à la fin le temps de faire sont chemin. perdu d'avance tant que tout restera ce qu'il en est, souvenirs amers, chaque souffle que chaque jour on deterre, tous nos sens en suspend, parceque c'est ce qu'on avait décidé.

Dans cinq ou dix ans, plus ou peut-être moins, quand la vie me dira enfin qui je suis, qui tu es, quand nous saurons faire attention a nous. quand nous aurons de nouveau l'envie de surmonter la vie, ensemble, et aprécier l'ennui.

je

jeudi, avril 03, 2008

j'ai la phobie du travail. putain. on est tous là à bosser pour la survie d'autres gens qui eux bossent pour notre survie à nous. autrement dit, nous vivons pour survivre ou, on crève lentement, laborieusement. moi j'attend la fin du monde, un déluge quelquonque ou une guerre atomique. une connerie pour en abattre une autre.

L'intelligence des hommes est encore trop peu evoluee pour admetre que nous sommes riducles face à l'immensite de l'univers. Nous sommes des petites fourmis travaillant dur pour survivre. Seulement, rien de vraiment tres important ne depend de nous, juste les choses sur lesquelles nous avons du pouvoir. illusions de grandeur, la prochaine grande evolution ne s'attardera pas sur nous. pas plus que nous nous attardons sur la valeur de la vie d'une araignee au fond d'une baignoire. la pluie tombe et l'homme se noye. attardés que nous sommes à ne pas voir au fond des choses parcequ'on sait que ce qu'on y trouverai remmetrais l'existence meme en cause, mondialisé, il y aurait le chaos, puis une evolution interne, et un recommencemment de toutes les erreurs passées y compris celle ci. pour conclure, nous sommes dans une impasse. il nous faut une issue.

ce texte concerne probablement tres peu de personnes. preuve de nos difference malgres notre unite.

avez vous deja ressentis les grandes questions? comme si vous en trouviez la réponse pendant un instant ou en comprendre le sens. un reve d'infini dans une poche de pantalon. tout vous echappe, meme le sens de ce mot.

il y avait une suite a ses lignes. la connection a planté et j'ai perdu la moitié, je ne m'en souvient evidement pas. je me suis contenté d'une explication de merde pour un produit de merde. vous vous contenterez de ces mots qui clorent cet instant de parlote si rare et inutile.


connection not etablished


merci la vie

lundi, février 18, 2008

Tu devrais mettre un timbre...

Je ne veux plus jouer, je n'ai jamais aimé ce jeu de toutes façons, et avec le décalage horaire c'est encore pire. Moi je voulais jouer, croyant qu'on gagnerais tous deux, croyant qu'on prendrais le temps de jouer correctement, tranquillement et de manière intelligente.

Mais nous avons joué trop vite, pressés de nous voir gagné ce qu'on avait réussi à touché du bout des doigts auparavant. Impatient du resultat, notre impatience nous à mener là, à se demander comment nous n'avons jamais su pourquoi. Et nous ne savons toujours pas, et on ne se demande plus. Ce jeu dont les règles n'existent pas est bien trop vaste pour se retrouver au même instant sur la même case et lancer les dés main dans la main pour faire de chaque pas une victoire. Seulement c'est une torture, bien loin de la victoire et las de s'impatienter, il vaut mieu arreter, quitte à jouer sans le savoir, puisque tu ne m'as jamais laissé savoir pourquoi je jouais.

Au fond, je ne sais pas qui tu es, je ne sais plus, ou bien je crois que tu n'es pas celle que tu prétend être, je ne sais plus qui est qui. Tu ne sais plus qui je suis, tes pensées ne sont plus à moi, et tes larmes glissent sur la carapace que tu m'as laissé construire. Mais nos souvenirs sont à nous. C'est pas facile facile, il ne faut pas être pressés, il ne faut rien laissé au hasard dans l'évidence de nos yeux.

J'ai du mal à croire, tu sais. Ce que je crois est pour la plupart du temps irréel, et tes pensées en eternelle contradiction avec tes paroles, ne jouons nous pas trop serrés d'aussi loin que nous sommes.

Je ne joue pas, je n'ai jamais joué, mais je t'ai laissé faire, et j'y ai cru, longtemps, peut-être même encore un peu, tout en esperant que tu finirais par arreter de te jouer de moi, de jouer avec moi.

Tu as arreté, et puis tu t'es cachée pour recommencer, et forcement ce n'est plus drole, dans un sens tu l'as bien mérité, Si je ne joue plus c'est bien par ta faute, tu m'en a dégouté, parceque tu est allée trop loin, gagné trop souvent, oui, je suis un mauvais perdant, oui tu es trop forte, et oui, tu ne pleure plus, peut-être parceque mes larmes on séché il y a bien longtemps, peut-être parcequ'il faudrai à présent savoir pourquoi on joue si on n'a plus la force de jouer pour savoir pourquoi.


Ma boite aux lettres est vide, et il fait drolement froid sous mon petit pont. Il y a des promesses envolées qui se sont probablement écrasées, mais d'autres que nous attraperons en vol si toutes fois nous savons voler. Il y a des mensonges qui se sont enraciné, mais qui pourraient mourir si nous avons la force de les deterrer, alors il n'y a plus qu'a prendre des cours de vol et a faire de la musculation. Pour ne plus rien laisser au hasard dans l'évidence de nos yeux.


vendredi, janvier 04, 2008

Quatre

Vide d'un quatre heure du mat' mou et désemparé, un nouveau jour encore ou la robotisation est la seule option, j'y pense avant d'y être et c'est mal, je voudrais dormir. Mes jambes me font mal, j'aime pas travailler aujourd'hui, aujourd'hui j'aime glander, mais j'ai pas le temps de m'y habituer, juste le temps de me préparer à aprécier un rêve angoissant ou chaque séquence de quatre minute se répete encore jusqu'a un éveil qui donnera juste une envie plus profonde de dormir, encore. J'aime l'art, et je dois sortir de cet automatisme foireux qu'est se "rêve" éveillé. Le week-end sera mou, pour préparer comme il se doit une nouvele semaine de torture, à fabriquer des morceaux de lits sur lesquels je voudrai me rendormir.

Passe le oinj et la clé de 10, mes rêves on trop de soucis techniques. La journée s'annonce courte, car quand j'y repenserais ça sera déjà fini. Bonne nuit.