dimanche, décembre 26, 2010

songes d'hiver

Bien plus de choses à dire les yeux fermés, à une heure où, déjà debout ou pas encore couché je me demande si je n'ai vraiment rien d'autre à dire pour cette journée, celle d'hier en fait. Et oui j'en ai, des pensées, les yeux fermés. Elles m'emmènent vers de verdoyantes contrées, des vallées gorgées de soleil, mais lorsque je regarde plus près, tout s'effondre alors, les vallées deviennent des gouffres, et tous les espoirs entre mes mains s'échappent, se consument dans les flammes que le soleil à laissé.

La peur de perdre ce qu'on avait ne nous a pas permis d'avancer, tu aurais surement voulu que ça dure éternellement, et moi aussi, mais tu ne m'as pas suivi, de peur de tout perdre, et moi qui avait peur de ne pas être à la hauteur, avec ma timidité et mon léger manque de confiance.

Mais j'ai pleuré beaucoup, suffisamment pour que ça se voie encore pendant quelques siècles si je vais jusque là, j'ai pleuré pour nous, et puis j'ai arrêté, parce que mes yeux ne voyaient plus, et mes maux que je n'entendaient plus, la chaleur que je ne sentait plus, et alors j'ai commencé à mourir parce qu'après ça on ne vit plus, ça ne se peut pas, ça n'a pas d'intérêt de vivre lorsque l'on sait qu'on aura plus jamais ça, parce que je suis partis, sans être retenu, sans un sentiment d'être, juste avec cette éternelle et douteuse certitude de ne jamais avoir compté.


Moi je suis un fou. La branche à laquelle je me suis accroché pour admirer le ciel va craquer, petit bout de bois, je vais tomber, suivre mes espoirs, m'engouffrer, dans ce monde qu'elle m'a laissé penser, je suis un fou qui n'a plus d'espoir, qui contemple le ciel avec la certitude que plus la chute est longue plus on a de chance d'être sauvé.

Je suis un fou qui aime.

vendredi, décembre 24, 2010

Grandiose

D'anciens rêves me reviennent, en rêve, c'est frustrant.

Je remonte il y a 5 ans, au lycée, et puis il y a emme, qui me fait tourner la tête, et mon coeur qui s'emballe.

Est-ce un aboutissement ? ou un simple rêve ?

Je n'ai plus que le désespoir de la solitude, alors que j'avais avec elle la simplicité de l'unité.

J'ai un enseignement qui me dit de ne rien dire, pour éviter que l'inconscient collectif ne vienne perturber le dessein cosmique.

Biensur, prenez moi pour un fou, c'est plus facile pour tout le monde.

C'est ce que j'ai a dire depuis tout ce temps, emme manque.
Je n'avait jamais été si vide pour me rendre contre à quel point je suis complet lorsque je l'ai à mes cotés, et même si ce rêve n'etait qu'un souvenir remanié par mes soins, je l'ai merveilleusement bien remanié, la sensation qu'emme fait partie de moi. C'était la même sensation que j'avais, il y a 5 ans ,lorsque je croisais son regard.


Non je n'ai rien d'autre a dire, rien de beau ou de bien tourné, il me manque la partie qu'emme a laissé de coté, et il me manque sa partie que je n'ai pas encore entièrement retrouvé.


Ce fil n'était pas si fin.

mercredi, mars 17, 2010

troyes

650 bornes pour troyes, happy hour en loosede au james joyce, mega burger au pulp sandwish avec getdown in a movie style. tarot loupé et teuf de 30 personnes dans un 10m2 chez un mec inconu, Flachat, de son surnom, de ses yeux. Puis reims, billard et mario-kart wii. billard et re james joyce avec gros burger et lalande de pommerol a 40euro. retour a troyes en 45minutes a 180km/h de moyenne. mercure hotel 120euro la nuit, mega tele mini bar et 50cl de chabli pour 12euro, connection au net improvisee pour 10euro. bourage de gueule et dessinage sur les murs de la chambre 120.

demain retour a auray. non jeudi en fait


i'll be back !!!!