dimanche, mars 04, 2007

je me fond dans la bétise, je n'aime pas ces post qui ne veulent rien dire sortis de leurs contextes, raaah !

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J'ai erré dans les bois quelques temps et je me suis retrouvé en face d'une arbre qui avait plus de neuf-cent ans. Je le regardais, et il me regardait, nous avons entamé une longue discution à propos des proportions que la tournure des évenement avait pris; il m'a enseigner les bases de la vie, il m'a montré la voie que je devais prendre sans jamais reculer. J'ai vu dans ces vieux yeux de bois que la chair humaine y trouvais matière à avancer, sans pour autant toujours la trouver, la comprendre.

J'ai trouvé une porte, la faille dans la forteresse de Dieu, et puis j'ai vu cet homme, il avait peur. Cet homme sans nez ni oreilles, qui ne peut ni sentir ou ressentir, ni écouter la beautée de la musique. Juste une bouche pour nous dicter ce dont on doit croire, ce dont on devrait avoir espoir, et des yeux, pour contempler la misere, pour tous nous voir pleurer, car ses paroles sont si dures, si injustes, mais pourtant on s'y laisse prendre, car elles sont la voix du maitre, la voie de l'être, selon sa triste personne. Le sol taché de sang, mon ombre au sol, et la peur sur son visage si pauvre, j'avais trouvé la faille, et il le savait maintenant. Le mur etait vert, l'espoir qui nous impose, pour noud donner l'opportunité de croire à une chose improbable.

Je lui ai fais peur, je vais bientot prendre sa place, je vais moi aussi étaler mes couleurs, mon utopie n'en sera pas toute a fait une, puisque contrairement à la sienne, je n'y laisserai aucune faille.


C'est fou comme l'alcool nous fais dire des choses étranges, mais pourtant si vraie, j'ai aimé hier soir, j'ai aimé le maudir et me mauquer de lui, j'ai aimé le rabaisser et l'humilier.

mais qui donc ? pourquoi donc ?

il était là, et c'est tout, je le voyais, je lui parlais, comme à cet arbre, il m'a appris à savoir dire non aux choses qui ne font pas partis de mon chemin.