jeudi, avril 03, 2008

j'ai la phobie du travail. putain. on est tous là à bosser pour la survie d'autres gens qui eux bossent pour notre survie à nous. autrement dit, nous vivons pour survivre ou, on crève lentement, laborieusement. moi j'attend la fin du monde, un déluge quelquonque ou une guerre atomique. une connerie pour en abattre une autre.

L'intelligence des hommes est encore trop peu evoluee pour admetre que nous sommes riducles face à l'immensite de l'univers. Nous sommes des petites fourmis travaillant dur pour survivre. Seulement, rien de vraiment tres important ne depend de nous, juste les choses sur lesquelles nous avons du pouvoir. illusions de grandeur, la prochaine grande evolution ne s'attardera pas sur nous. pas plus que nous nous attardons sur la valeur de la vie d'une araignee au fond d'une baignoire. la pluie tombe et l'homme se noye. attardés que nous sommes à ne pas voir au fond des choses parcequ'on sait que ce qu'on y trouverai remmetrais l'existence meme en cause, mondialisé, il y aurait le chaos, puis une evolution interne, et un recommencemment de toutes les erreurs passées y compris celle ci. pour conclure, nous sommes dans une impasse. il nous faut une issue.

ce texte concerne probablement tres peu de personnes. preuve de nos difference malgres notre unite.

avez vous deja ressentis les grandes questions? comme si vous en trouviez la réponse pendant un instant ou en comprendre le sens. un reve d'infini dans une poche de pantalon. tout vous echappe, meme le sens de ce mot.

il y avait une suite a ses lignes. la connection a planté et j'ai perdu la moitié, je ne m'en souvient evidement pas. je me suis contenté d'une explication de merde pour un produit de merde. vous vous contenterez de ces mots qui clorent cet instant de parlote si rare et inutile.


connection not etablished


merci la vie