Même après toutes les raisons du temps, je reste là à penser à ce que nous aurions pu être, ce que nous avons étés, alors que c’est démuni d’espoir, et dénué de sens, mes rêves restent tiens, ceux dans lesquels tu es mienne, juste une main sur ton sein, une lumière au fond de tes yeux.
Tout ce que je peux dire c’est que je n’ai plus de valeur, le temps que j’ai passé au fond de nous deux m’a brisé le cœur, et mes sentiments échappés en peintures n’ont pas ris de mes pauvres douleurs.
Je hais ces lignes sans vies malgré moi, à chaque début de note, ou presque, ceci n’est pas une note non, ceci est un ramassi de rîmes naze, je cherche pas à en faire mais faut que j’en fasse, cherchez à en faire, qu’est-ce que ça pourrais donner…
Ou pas…
Tes mots n’ont plus de sens pour moi, enfin si, mais c’est le sens qu’elle à laissé en moi, et tu n’es pas elle, si tu es toi et que je ne suis pas fou, si tu es celle qui m’a brûlé les ailes. Je n’ai pas peur des fous, ni de ce sol blanc, c’est juste que j’ai toujours besoin de temps, et les pages ne s’écrivent pas vite, parce que tes mots ressemblent aux siens, parce que ton malheur se lie avec le mien, et parce que moi je suis partis loin d’elle, et puis toi tu l’entretiens, cet amour tueur que tu as au creux de tes mains, la vie est un malheur, après tout, tu n’y peux rien. Accroché à tes mots je cultive une douleur antérieur à ce qui entre nous s’est passé, parce que je n’ai pas pu te rencontré, ou pas voulu, trop tôt, trop peur, toi ou elle ? Serai-je déçu ou terrorisé ? Aurai- je pu être à toi si la page avait été tournée ? Le mystère est entier.
Enfance d’un point trouble est/et sombre, d’un esprit égaré mon cœur s’est emballé, moi j’ai perdu pied, dégringolé, je ne sais pas si tu aurais pu me sauver, mais ces trucs là ne se vivent pas à deux, ces trucs là ne se vivent même pas. Ces trucs là sont des esprits égarés, qui sont là, même là je croix, mais je ne pense pas. Je subit parfois.
10mars2009
[ Des gens rient et pleurent dans ma maison, son coeur est partis , meurtri, je suis seul, lui aussi, maintenant…
Maman ne sera pkus qu’un souvenir, balançant entre les rires et les pleures. Dans la maison de desordre, les poussières de son corps nous ennivre de ses souvenirs, de sa vie passée, l’amour est plus que resté, celui qu’elle nous a donné, et que l’on a pris, sans parfois lui rendre. Elle me gagne, chaque jour un peu plus, elle nous gagne, à qui le sent, et c’est bien ainsi.
La sensibilité de sa vie, ses larmes pour des gouttes de rien, elle me manque, ou bien je me rassurre, mais je l’aime, elle m’a donné la vie, à gardé la mort pour elle, et pourquoi ? parceque, je comprend, elle n’est plus là maintenant. En moi, elle a gagné mon cœur, et tous ces instant passé sans moi, alors que j’etais simplement là, sans y faire attention, juste là, pas loin, en bas, sur le fauteuil devant un etélé qui ne disait rien de bon, et moi, devant cet ordi, qui celon moi ne m’a jamais donné rien de bon, si ce n’est toi qui m’a détruis, moi, qui t’aie détruite. Nous aurions du nous rencontrés autrement, plus tard, moi qui ai toujours été trop tot, et trop faible.
Je n’était qu’un petit mordeau de rien, un bout de vie, qui n’a plus que ça comme souvenir, une mère qui le blame pour ce qu’il est, parce qu’ il est déjà. Je ne lui en veux pas, mais m’en veux à moi, lui en avoir voulu pour ça, l’avoir tuée, peut-etre, pour ça… Moi qui pensai alors mal faire, mais alors donc de mieu ? Peut-être l’image lumineuse d’un cadeau mensuel dans le noir intense de l’immensité de l’immaginaire… mais elle ne savais pas, et je n’etais qu’un morceau, de rien du tout.
Le temps, il s’arrete, toujours, et les portes sont partout, et personne ne les vois, même pas moi, mais je le sais, par les rêves, par le cœur et l’esprit. Et le compteur d’eau, qu’il faux payer, sur place, les mains dans cette eau si pure que même la vardure autour semblais si échapper, sur ses rîves pétrolières et industrielles, exalant tant de sureté en ces endrois insolites ou elle m’a emmenné, et même sur ces colines et ses vallée, de tous ce mots qu’elle me chuchottais pour me rassurrer, son absence est un long voyage, pour revenir à ses cotés, avec les gens qui s’aiment pour ce qu’il sont et non pour ce qu’il ont étés. Les différences sont minîmes, et l’âme n’est qu’une idéologie abusive chez les scientologues, leurs textes sont juste assez choquant pour extraire les gens inhumains, les voix sans âmes, celles qui n’ont plus de racines ; de leurs paroles pure derière ce trouble superficiel que les profondistes percent.
Vous n’arriverriez probablement pas jusque là, et dans le cas contraire, les archétypes vous voient, et vous les voyez, le voyage deviens alors réel, le rêve est donc réalité, et la soi disante vérité ne connais plus ses propriétés. D’un esprit dérangé naît l’autre vérité, celle qui valide toutes les autres, et les mets à mort l’instant suivant.
Tappant les barreau de fonte, certis dans la roche par les années du temps qui ont marqués la vie, à l’appogée de l’enfer, de la souffrance universelle et constante de la raison de la vie, la question à laquelle se répond parceque. Cette question qui renouvelle le tout, la souffrance et la joie, la vie et la mort.
Ce qui nous à animés jusqu'à ce jour, ce qui nous annimera en rore, après la fin imminente que tous connaitrons, pour leurs absence dans le monde originel que nous avions batis, ce monde qu’ils ont détournés pour donner la médaille au mal.
Les dessins, ne sont pas suffisant, mes images doivent se peindre et s’entendre, je doit briser la glace qui leur a servi à me conserver, de tous ces maux que j’ai cru endurer pour toi, n’est-est-ce pas plutôt pour elle, ou même pour moi… apres la fin se trouve l’information, le début, nous avons tous vu le passé, et nous voyons pour la plupart le futur, vous pourriez ne même pas vous en rendre contre, d’où l’esprit dérangé, mais le mot était mal choisi, plutôt l’esprit détourné, du sens commun préétabli par le passé, plutôt que le sens incertain de l’avenir proche, certain sont leaders du futurs et d’autre ne sont même pas futurs, et si je me fous de quel groupe je fais parti c’est bien parceque le sens imatériel et trop important et gigantesque pour le rien que je suis, puisque parmis l’infiniment grand et l’infiniment petit se trouve l’infiniment vivant, l’information, qu’elle qu’elle soit, je croix que ce sont les esprits tourmentés qui régissent le monde et les capacités humaines. Leurs détachement de la réalité si important contraste avec la soi disante réalité de manière à ce que l’on choisisse la simplicité…
Pourtant l’on engage la complexité, pour réaliser ce projet, cette finalité, que l’on traduit par eternel recommencement, l’évolution, nombre d’or, qui à bien plus inventer le cercle ou le carré ? Dites moi… je reste sans voix, moi. ]
J'aurais parsemé des graines de moi sur les jardins d'automne, parler de mes mains comme ma voix vous a touché, faisant vibrer le chapeau de ces connes, lorsque les cris que mon esprit résonne, les regrets vous serons enfin apaisés. (?)
Agacé par le drame, ou peut-elle bien être ? Pas nul part, et même nul part est un endroit... je crois...
je la reverrai.
mercredi, mars 11, 2009
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