Le grand architecte ne m'interpelle pas, il n'a jamais interpellé personne, il n'existe pas. je mens. dérisoire, des yeux noirs. Il n'est pas commun que des mots comme les tiens sucitent en moi un déjà vu, bien trop vu, j'ai peur. Qui es tu ? seulement un reflet, un reflet de reflets ? J'avais déjà trouvé, et je trouve encore, toujours à l'identique dans la différence, toujours le même batement. Je me consume lentement, je revois tout, je ne regarde rien. Ma solitude me comble ? ma solitude ne me détruit pas. Ma solitude me plait, je la hais. Bien étrange ? non, normal, classique, c'est un cliché de cette génération d'artiste (si je puis nous apeller ainsi) de cette génération de fous incompris. Les mots me manquent, et bien entendu les maux me manquent. Etait-ce si prévisible que cette phrase soit ? si peu inovante, tellement trop dite, pourtant si vraie. Je ne suis pas le seul, je suis comme des milliers qui vivent. L'âme se serait-elle divisée au fil des années pour donner vie à ces reflets multiples ? je ne sais pas, je m'en fous. mais du point de vu social uniquement, car mon inconscient tente sans cesse cette réunification impossible. Ces questions qui nous hantent tous depuis ce jour précis. quel jour ? je ne sais même pas depuis quel jour, pas plus pour moi que pour vous. ce jour là .
Tout etait si blanc, si pur, si limpide, si naturel, si somptueux; de cette mélodie envoutante qui me sortais droit de l'esprit, cette voix enfantine qui me parlait pour la toute derniere fois, cette voix que je m'efforçais d'écouter ne sachant pourtant pas si je l'écoutais vraiment. Le changement etait désormais présent, et cette si jolie voix qui depuis mes premières pensées ne m'avais jamais quitté, se tut, à jamais, mais c'est moi qui l'abandonnais. Cette voix inocente délaissée pour la pomme de l'arbre de la conaissance. Cette pomme que tu m'as tendue, que je n'ai pu refusé, que je ne voulais refuser, de toi.
Qu'ai-je perdu ? moi ? toi ? nous ? simplement la mort de solitude je crois. On se suffit à soi même, parceque l'on sait s'en persuader, moi je sais en tous cas. Ce n'est pourtant pas la meilleure chose, je le reconnais; quand la compagnie se présente je ne refuse pas, mais ça n'en est pas moins déplaisant. Seul ou avec toi, mais sans toi toujours seul. J'avais trouvé, et je trouve encore, à l'identique dans la différence.
L'alcool me pénetre, je suis pédé avec l'alcool, une pointe d'humour nul et gras, juste parcequ'aujourd'hui l'alcool ne débande pas, l'alcool est long dur et bon. Tout comme j'aimerais l'être avec toi; pour une pointe d'humour bien moche d'un mauvais doublages français de film porno allemand.
Toutes les histoires du monde on une fin, faute de temps comme toujours, la mienne n'en a pas, le temps n'existe pas, pourtant je marche dessus, à ses cotés, devant lui ou deriere lui. Mon histoire n'a pas de fin, m'on histoire n'est pas, pas plus que la votre. Sommes nous uniques ? si oui sommes nous vrais ? sinon sommes nous faux ? ... Nous sommes, alors spirituellement parlant, le temps historique n'existe pas.
Je ne vois plus rien en toi, ni en moi, je ne regarde pas, je ne suis pas, tu n'es pas, je dis n'importe quoi, mais rien n'est là. Tout est ici, en moi, je suis prétentieux, tout comme ces yeux, noirs, qui nous font croire que la vie se termine de la même façon qu'elle a commencé.
L'alcool me fait dire n'importe quoi, ou la vérité, à qui me croira, s'en sentira bien dérouté.
Tout etait si blanc, si pur, si limpide, si naturel, si somptueux; de cette mélodie envoutante qui me sortais droit de l'esprit, cette voix enfantine qui me parlait pour la toute derniere fois, cette voix que je m'efforçais d'écouter ne sachant pourtant pas si je l'écoutais vraiment. Le changement etait désormais présent, et cette si jolie voix qui depuis mes premières pensées ne m'avais jamais quitté, se tut, à jamais, mais c'est moi qui l'abandonnais. Cette voix inocente délaissée pour la pomme de l'arbre de la conaissance. Cette pomme que tu m'as tendue, que je n'ai pu refusé, que je ne voulais refuser, de toi.
Qu'ai-je perdu ? moi ? toi ? nous ? simplement la mort de solitude je crois. On se suffit à soi même, parceque l'on sait s'en persuader, moi je sais en tous cas. Ce n'est pourtant pas la meilleure chose, je le reconnais; quand la compagnie se présente je ne refuse pas, mais ça n'en est pas moins déplaisant. Seul ou avec toi, mais sans toi toujours seul. J'avais trouvé, et je trouve encore, à l'identique dans la différence.
L'alcool me pénetre, je suis pédé avec l'alcool, une pointe d'humour nul et gras, juste parcequ'aujourd'hui l'alcool ne débande pas, l'alcool est long dur et bon. Tout comme j'aimerais l'être avec toi; pour une pointe d'humour bien moche d'un mauvais doublages français de film porno allemand.
Toutes les histoires du monde on une fin, faute de temps comme toujours, la mienne n'en a pas, le temps n'existe pas, pourtant je marche dessus, à ses cotés, devant lui ou deriere lui. Mon histoire n'a pas de fin, m'on histoire n'est pas, pas plus que la votre. Sommes nous uniques ? si oui sommes nous vrais ? sinon sommes nous faux ? ... Nous sommes, alors spirituellement parlant, le temps historique n'existe pas.
Je ne vois plus rien en toi, ni en moi, je ne regarde pas, je ne suis pas, tu n'es pas, je dis n'importe quoi, mais rien n'est là. Tout est ici, en moi, je suis prétentieux, tout comme ces yeux, noirs, qui nous font croire que la vie se termine de la même façon qu'elle a commencé.
L'alcool me fait dire n'importe quoi, ou la vérité, à qui me croira, s'en sentira bien dérouté.