las de solitudes, las de toutes les conneries qu'on imagine. Ces rêves que l'on a, ces films que l'on se fait, si beaux. Mais beaucoup de choses ont une fin, de peur de la douleur nous ne faisons rien. peur de voir se terminer ça sous nos yeux. l'innocence de ce que nous pretendons avoir, seulement imaginé. comme un signe du temps qui nous dis "non, tu vas le regreter". pour toutes ces histoires ratées. toujours là pour en parler. laissons à la fin le temps de faire sont chemin. perdu d'avance tant que tout restera ce qu'il en est, souvenirs amers, chaque souffle que chaque jour on deterre, tous nos sens en suspend, parceque c'est ce qu'on avait décidé.
Dans cinq ou dix ans, plus ou peut-être moins, quand la vie me dira enfin qui je suis, qui tu es, quand nous saurons faire attention a nous. quand nous aurons de nouveau l'envie de surmonter la vie, ensemble, et aprécier l'ennui.
je
mardi, avril 15, 2008
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