Tu as su mettre de l'espoir dans mes yeux, tu as su prendre mon coeur entre tes mains, sans le blesser, sans l'abimer, apres tous ces coups de griffes qu'il a reçu; si fragile, si subtil. Glissé entre tes doigts, un petit coufin dans la paume de la main.
On s'est trouvé, et un jours nous nous sommes perdus, dans une immensité glaciale régie par le mensonge et le doute, des espoirs vains, les bouteilles de vins, tes regards insolites, mes envies de vivre. Nous avons gravis bien des chemins pour se retrouver, pour se désirer. Ne devrais-je donc pas parler que pour moi ? Aurai-je donc mis les pieds sur une autre terres, pendant que toi de tes petites mains reconstruisais pierre par pierre ce petit chez nous que l'on s'était construit, et que j'avais détruit. Sans portes et sans fenetres, mais aujourd'hui il y a de la lumiere, des jolis rideaux, et une grande porte en bois, qui ris l'été et qui craque l'hiver, ce petit chez soi bien à nous, ce petit chez nous bien à soi.
Mais j'ai peur, de ce que tu vas penser ou dire, peur que ces mots à tes yeux ne soient pas les plus beaux, peur du ridicule, comme on à peur de ce qu'on ne connait pas. Peur d'être trompé par ceux qui nous sont cher. Mais nous sommes liés, entremélé, et même avec le temps, on se retrouve toujours.
Ce n'est ni le jour, ni l'heure, ni l'endroi pour en parler, mais pour une fois je me sens fort, parceque tu es là, dans mon coeur, dans mes yeux, dans mon lit. Aujourd'hui je ne regrette rien, aujourd'hui, je me sens bien.
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